Blaguecourte. Vous connaissez l'histoire du lit vertical? C'est une histoire à dormir debout. - Docteur, je ne suis pas malade. - Ca tombe bien, je ne suis pas docteur ! Vous connaissez l'histoire de toto aux toilettes ? Non c'est normal il avait fermé la porte à
PubliĂ© le 16/08/2022 Ă  1052, Mis Ă  jour le 17/08/2022 Ă  1517 "Fort Boyard" Pierre-Antoine Damecour dans la boue VIDÉO - Le comĂ©dien de 38 ans, chroniqueur sur la chaĂźne L'Équipe et animateur sur M6, a remportĂ© l'Ă©preuve de la lutte dans la boue en duo avec Karima Charni grĂące Ă  une stratĂ©gie dĂ©routante. Épreuve mythique de Fort Boyard », la lutte dans la boue fait partie des passages redoutĂ©s des participants depuis 1990. DisputĂ©e seule ou en duo, elle met les organismes Ă  rude Ă©preuve et fait ressortir les candidats dans un Ă©tat de saletĂ© extrĂȘme. Dans le numĂ©ro du jeu produit par ALP diffusĂ© samedi dernier sur France 2, Karima Charni et Pierre-Antoine Damecour ont eu Ă  dĂ©fier Laura MĂ©tĂ©, alias Lady Boo, et Amadou Papis Konez, colosse de 1,95 mĂštre et de prĂšs de 150 kilos portant le nom de Big Boo. C'est une cellule mythique oĂč il faut tout donner, tant pis si on a mal », a dĂ©clarĂ© le chroniqueur de la chaĂźne L'Équipe avant de se les deux candidats ont Ă©tĂ© immobilisĂ©s par leurs adversaires, plaquĂ©s dans la vase et neutralisĂ©s contre les parois de la cellule. Visiblement Ă©puisĂ©s alors qu'il ne restait qu'une vingtaine de secondes pour rapporter la clef, Karima Charni et Pierre-Antoine Damecour semblaient incapables de sortir vainqueurs de ce duel. Voyant sa coĂ©quipiĂšre au sol avec Lady Boo au milieu de l'aire de combat, l'humoriste a eu l'idĂ©e de dĂ©tourner l'attention de Big Boo en lui racontant une blague et en prenant lentement la direction d'un cĂŽtĂ© de la piĂšce. En parvenant Ă  attirer vers lui son imposant adversaire, il a subitement changĂ© de direction, rebroussĂ© chemin en contournant Karima Charni et Ă©vitĂ© un plaquage dĂ©sespĂ©rĂ© de Big Boo avant de s'emparer de la lire aussiFort Boyard» accrochage avec Philippe Etchebest, moqueries, mine dĂ©faite... Que s'est-il passĂ© avec Elsa Esnoult ? C'est vraiment remarquable », a rĂ©agi l'animateur de Fort Boyard », Olivier Minne. Tu nous as faits du trĂšs grand show Pierre-Antoine, vraiment. Au moment oĂč on pensait que tu abandonnais et que c'Ă©tait cuit. »Le chroniqueur de L'Ă©quipe de Greg » sur la chaĂźne L'Équipe a reconnu ĂȘtre parti sur une blague dont il ne connaissait mĂȘme pas la chute mais que celle-ci a suffi pour perturber son VOIR AUSSI - "Fort Boyard" l'exploit de Pierre-Antoine Damecour On pensait que tu abandonnais et que c'Ă©tait cuit» l'incroyable exploit de Pierre-Antoine Damecour dans Fort Boyard» S'ABONNERFermerS'abonner
Dune histoire Ă  une autre, la Gendarmerie nationale fait front Ă  des Ă©nergumĂšnes en tout genre. Le week-end dernier dans le Lot-et-Garonne, c’est un automobiliste qui a fait une mauvaise blague aux forces de l’ordre avec une fausse main ensanglantĂ©e.Revenons Ă  la voiture de gendarmerie dĂ©truite en Dordogne avec un engin La Jeune femme et son mĂ©decin Une jeune femme dit Ă  son mĂ©decin - Docteur, je n'ai jamais osĂ© vous en parler, mais je n'en peux plus. Mon mari ne pense qu'Ă  sa mĂšre, parle d'elle sans arrĂȘt, compare tout ce que je fait Ă  ce qu'elle fait, en mieux bien sĂ»r. Je cuisine une blanquette ? Celle de maman est plus lĂ©gĂšre ? » J'achĂšte une robe ? Maman ne mettrait pas une couleur aussi criarde.. » Je lui offre une cravate ? Quand j'Ă©tais cĂ©libataire, maman avait un goĂ»t trĂšs sĂ»r pour les choisir ? » Et maman ceci, et maman cela ! - Écoutez, fait le docteur, il y a un domaine oĂč il ne peut pas faire de comparaisons, c'est le sexe. Alors vous allez acheter des sous-vĂȘtement trĂšs affriolants, et quand ce soir votre mari rentrera du travail, vous l'attendrez Ă©tendue sur votre canapĂ©, uniquement vĂȘtue de dessous trĂšs sexy. LĂ , chĂšre madame, plus question de la belle-mĂšre ! La jeune femme va dans une boutique de lingerie, et quand le soir son mari rentre, il la trouve allongĂ©e sue le canapĂ© vĂȘtue seulement d'un slip et d'un soutien-gorge de dentelle noire, d'un porte-jarretelles noir et de bas noirs . Et il s'Ă©crie - Mon Dieu ! Il est arrivĂ© quelque chose Ă  maman ? Toto est entrain de manger les mousses au chocolats... - Salut, fiston ça boume ? dit le pĂšre de toto en rentrant dans la cuisine. - Tiens il ne restait pas de la mousse au chocolat ? demande-t-il. - Ok, je vois oĂč elle est passĂ©e. Tu t'es tout enfilĂ©! dit-il Ă©nerver. - C'est sympa, t'aurais ou tout de mĂȘme penser un peu Ă  moi! dit-il Ă©nerver. - Mais, papa je n'ai pas cessĂ© de penser Ă  toi! dit Toto en faisant l'innocent. - HA OUAIS ! c'est comme ça que tu penses aux autres, toi ! Et bien merci! dit-il Ă©nerver. - Mais je te jure, j'ai as arrĂȘter de me dire Pourvu que papa n'arrive pas, pourvu que papa n'arrive pas, pourvu... Toto et son voisin Le voisin de toto demande a toto Tient toto! Qu'est-ce que tu fais lĂ ? Toto Mon poisson rouge est mort . Alors je l'enterre. Son voisin Tu ne crois pas que c'est un grand trou pour un petit poisson ? Toto C'est parce qu'il est Ă  l'intĂ©rieur de votre gentil minou-minou! Une blonde trop conne .. C'est une blonde qui retrouve une de ses copines blondes. - Holala, j'ai encore ratĂ© mon permis ! - Que s'est-il passĂ© ? - Je suis arrivĂ© prĂȘt d'un rond point et lĂ , comme l'indiquĂ© le panneau 30, j'ai fait 30 fois le tour du rond point. -Et tu t'es trompĂ© de combien de tour ? Un gars qui est invitĂ© Ă  une grande rĂ©ception. C'est un gars qui est invitĂ© Ă  une grande rĂ©ception. Une heure aprĂšs le dĂ©but de la soirĂ©e, il va aux toilettes. Il remarque que le gars qui pisse Ă  cĂŽtĂ© de lui a deux jets. - C'est quoi....? - Ah ça mon ptit jeune c'est une blessure de guerre... Une heure plus tard, il revient aux toilettes publiques et voit un autre gars Ă  cĂŽtĂ©, mais lui il a trois jets de pipi. - C'est quoi, les trois jets? - Ça c'est une vieille blessure de guerre de 1930. Encore, une heure aprĂšs, il y retourne et voit un autre mec qui a quinze jets de pipi. Il demande - C'est une vieille blessure de guerre, vous aussi? - Non, c'est juste que je suis trop saoul pour baisser ma fermeture Ă©clair... Le vieil homme et son mĂ©decin .. Jules, 75 ans, va voir son mĂ©decin pour une analyse de sperme. Son mĂ©decin lui donne un petit flacon et lui dit de revenir le lendemain pour l'analyse. Le lendemain, l'homme lui remet le flacon vide et propre. Le mĂ©decin lui demande pourquoi. - Eh! bien voila, docteur. J'ai essayĂ© avec la main droite, sans succĂšs. Avec la main gauche, rien non plus. Alors, j'ai demandĂ© Ă  ma femme de m'aider. Elle a essayĂ© avec la main droite puis la gauche. Toujours rien. Ensuite, elle a essayĂ© avec la bouche, avec ses dents, sans les dents. Toujours sans succĂšs. Alors, on a demandĂ© Ă  la jeune voisine qui a essayĂ© avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, ses dents... Le mĂ©decin, choquĂ©, l'interrompt - Vous avez mĂȘme demandĂ© l'aide de la voisine ?... - Eh! oui, docteur. Vous voyez, on a tout essayĂ© et on n'a toujours pas pu ouvrir ce putain de flacon Une blonde fait l'amour .. Une blonde fait l'amour avec un mec. Au bout d'un moment elle lui demande - T'as pas le sida au moins ? - Mais non !" Ils continuent puis la blonde redemande - T'es vraiment sĂ»r que t'as pas le sida ? - Mais je te dis que non ! Et puis pourquoi cette question ? - Parce que ca me ferais chier de le choper une deuxiĂšme fois ! Une jeune fille va se faire bronzer .. Une jeune fille va se faire bronzer sur le toit le l'hĂŽtel, et comme elle est absolument seule, elle tombe le soutien-gorge, puis le slip...Comme il n'y a toujours personne, elle commence mĂȘme Ă  se caresser, lorsque tout Ă  coup quelqu'un monte... Elle a juste le temps de mettre un drap sur elle. C'est le majordome qui lui dit Pourriez vous vous dĂ©placer de quelques mĂštres s'il vous plaĂźt, vous ĂȘtes couchĂ©e sur la verriĂšre du restaurant. Toto et les nouveaux mots Un jour Toto rentre de l'Ă©cole oĂč il a apprit des "grands" quelques nouveaux mots pas trĂšs jolis. - Maman, ça veut dire quoi "connard" ? Alors la maman rĂ©pond - Heu... ça veut dire "visiteur". - Et ça veut dire quoi "bitte" ? - Hem... ça veut dire "chemise" - Et ça veut dire quoi "merde" ? - Heu... ça veut dire "fauteuil" - Et ça veut dire quoi "niquer" ? - Pff... ça veut dire "repasser" Et enfin Toto arrĂȘte de poser ses questions dĂ©biles. Un jour, pendant que la mĂšre de Toto est en train de repasser, un gars sonne Ă  la porte d'entrĂ©e... Toto ouvre et dit "Salut, connard. Assieds-toi dans la merde. Maman est en train de niquer la bitte Ă  papa." Demande en mariage C'est une fille qui dit Ă  son pĂšre qu'il y a un gars qui veut venir demander sa main, donc le gars vient chez elle avec un chewing-gum dans la bouche le pere c'est pas un manque de respect de venir me voir avec un chewing-gum dans la bouche ? le gars c'est juste aprĂšs que j'ai fumĂ© une clope je mache un peu le pĂšre parce que tu fumes ? le gars oui quand j'ai un peu bu le pĂšre tu,.... tu bois en plus ? Le gars oui quand je vais en boite le pĂšre ça fait combien de temps que tu vas dans les boites ? le gars depuis que je suis sorti de prison le pĂšre et pourquoi t'es entrĂ© en prison ? le gars parce que j'ai tuĂ© quelqu'un le pĂšre pourquoi ? le gars il ne voulait pas que je mari sa fille le pĂšre T'as ma bĂ©nĂ©diction... mon fiston !!! Test de cĂ©libat Ce sont trois jeunes candidats Ă  la prĂȘtrise. L'Ă©vĂȘque s'est dĂ©placĂ© spĂ©cialement au sĂ©minaire pour leur faire passer un dernier test Le fameux test du cĂ©libat. L'Ă©vĂȘque conduit les trois candidats dans une piĂšce, et leur demande de se dĂ©shabiller. Ensuite, il demande Ă  chacun de s’attacher une petite clochette au bout de leur partie intime au moyen d’une ficelle toute fine. Lorsque tout le monde est prĂȘt, une superbe fille entre dans la piĂšce et vient se placer devant le premier candidat. Elle entame un strip-tease torride... et l'on entend Tingingling ». L'Ă©vĂȘque prend alors la parole - Patrick, je suis vraiment dĂ©solĂ© pour vous, mais votre manque de self-control vous joue des tours. Emportez vos vĂȘtements et courrez prendre une douche froide. Vous en profiterez pour prier et mĂ©diter sur votre faiblesse charnelle. Pendant ce temps, la jeune fille qui s'Ă©tait placĂ©e devant le second candidat avait continuĂ© son strip-tease. ArrivĂ©e Ă  la petite culotte, on entend
 Tingingling » L'Ă©vĂȘque reprend alors la parole - Joseph, toi non plus, tu n'es pas capable de refrĂ©ner tes pulsions charnelles. Une douche froide et des priĂšres pour toi aussi. Et le second candidat quitte la piĂšce. A ce moment, la jeune fille est dĂ©jĂ  toute nue, en train de danser et de prendre des attitudes toujours plus suggestives devant le troisiĂšme candidat... Mais rien. Elle a beau mĂȘme se frotter contre le corps de l'Ă©phĂšbe. Mais aucune rĂ©action... L'Ă©vĂȘque est trĂšs satisfait et il dit - Michael, mon fils, je suis vraiment fier de toi. Tu es le seul Ă  avoir eu assez de force de caractĂšre pour ne pas t'ĂȘtre laissĂ© aller Ă  tes pulsions charnelles. Tu deviendras prĂȘtre trĂšs rapidement. Maintenant tu peux aller rejoindre tes deux compagnons sous la douche... »Tingingling » ... Couple en voiture En voiture, un couple est installĂ©. Le mari qui conduit roule trĂšs lentement quand soudain sa femme lui dit - Je te quitte ! L’homme commence alors Ă  accĂ©lĂ©rer. Et elle rajoute - Je vais chez ma mĂšre et j’embarque les enfants ! Il roule plus rapidement ; Et la femme elle, en reprend de plus belles - Pendant, toutes ses annĂ©es, tu ne m’as servi Ă  rien du tout ! Tu n’es qu’un imbĂ©cile, un bon Ă  rien ! Il se met Ă  accĂ©lĂ©rer d’avantage jusqu’à arriver Ă  plus de 210 km/h. Il y a un camion, juste en face d’eux. La femme continue - Mais franchement, qu’est ce que j’ai que toi t’as pas ?! Le mari rĂ©pond - Un AIR BAG ! La revanche Une fille et son copain vont dans un club. Quand c'est au tour de la fille de commander une tournĂ©e, elle lui dit qu'elle avait entendu parler d'un tout nouveau cocktail merveilleux et qu'il DEVAIT absolument l'essayer. Elle commande pour elle-mĂȘme sa biĂšre habituelle et pour son copain elle commande deux verres, le premier contient une mesure de crĂšme BAILEY, et le second contient une mesure de jus de citron. Elle lui donne les instructions suivantes - Ok, tu dois boire le BAILEY et le garder dans ta bouche et aprĂšs tu bois le jus de citron et tu essaies de garder le tout le plus longtemps possible dans ta bouche. Son copain semble douteux, mais il dĂ©cide d'essayer. PremiĂšrement le BAILEY une agrĂ©able impression de chaleur, de douceur, texture crĂ©meuse et une bonne impression en bouche. Ensuite le jus de citron AprĂšs seconde la crĂšme de BAILEY caille AprĂšs seconde la figure du garçon tourne Ă  la couleur du jus de citron AprĂšs seconde le garçon hĂ©site entre vomir ou avaler la solution, il dĂ©cide d'avaler. AprĂšs seconde la fille lui dit doucement Ă  l'oreille - ça s'appelle " la revanche de la pipe !" Une blonde sur les marches du paradis Une brune, une rousse et une blonde viennent de mourir. Pour accĂ©der au paradis, chacune d’elle doit monter 100 marches sans rigoler. Le problĂšme c’est qu’à chaque marche, une blague leur est racontĂ©e. La brune monte les escaliers, mais bout de la 21Ăšme marche, elle est morte de rire. La rousse monte les escaliers, mais elle rigole Ă  la 66Ăšme marche. C’est au tour de la blonde. Elle monte et arrivĂ©e Ă  la 99Ăšme marche elle pĂšte de rire. La blonde et la brune, choquĂ©es, lui demande qu’est ce qui lui a prise d’éclater de rire si prĂšs du but. La blonde Bin
 Je viens juste de comprendre la 1Ăšre blague... ProblĂšmes d'argent Une femme blonde avait des problĂšmes financiers, elle dĂ©cida donc de kidnapper un enfant afin d'obtenir une rançon en Ă©change. Elle alla dans un parc, kidnappa un petit garçon, le pris derriĂšre un arbre et Ă©crivit sur une feuille - J'ai kidnappĂ© votre enfant. Laissez Euros dans un sac en papier brun derriĂšre le grand chĂȘne du parc Ă  7h00 du matin demain. Le message Ă©tait signĂ© "La blonde" Elle accrocha la feuille Ă  l'intĂ©rieur de la veste du petit garçon et lui dit de retourner chez lui. Le lendemain matin, la blonde retourna dans le parc pour rĂ©cupĂ©rer les Euros, comme elle l'avait demandĂ© sur les instructions. Le sac Ă©tait lĂ . Et dedans, la blonde trouva le mot suivant - Voici votre argent, je n'aurai jamais cru qu'une blonde pourrait faire cela Ă  une autre blonde !!! Toto et la stratĂ©gie de guerre A l’armĂ©e un commandant dĂ©cide de mettre en situation ses soldats et demande Vous roulez et tout Ă  coup vous vous rendez compte qu’un hĂ©licoptĂšre vous suit. Qu’est-ce que vous faites ? Un des soldats dit - Chef, je cherche un abris. Un autre dit - Chef, je me cache sous la voiture. Le commandant n’est pas trĂšs satisfait des rĂ©ponses attendu. Et lĂ  Toto prend la parole et dit - Chef, je fais comme les femmes je mets mon clignotant Ă  gauche et je tourne Ă  droite ! Les ennemis n’y verront que du feu !!! Toto et son papi discutent.. C’est Toto qui se balade avec son pĂ©pĂ© dans le jardin public. Ils sont sur le banc Ă  prendre une glace, lorsque deux chiens en pleine fornication viennent accomplir leur action coupable sous leurs yeux. - Qu’est-ce qu’ils font, papi? Le papi, jamais pris au dĂ©pourvu rĂ©pond - HĂ© bien, le chien d’au dessus s’est fait mal Ă  la patte, et celui du dessous l’emmĂšne probablement chez le vĂ©tĂ©rinaire
 Toto rĂ©flĂ©chit et dit - Hmmm, c’est exactement comme pour nous, les humains, hein papi
 - Qu’est-ce que tu veux dire Toto? - Ben
 Tu offres gentiment ton aide Ă  quelqu’un et Ă  chaque fois il te baise par derriĂšre ! Toto apprend Ă  faire du vĂ©lo Toto apprend Ă  faire du vĂ©lo et dĂ©jĂ  il fait le malin Il fait un tour du pĂątĂ© de maisons et, passant devant sa mĂšre - Regarde maman, sans les pieds ! Il refait un tour du pĂątĂ© de maisons et dit - Regarde maman, sans les mains ! 3Ăšme tour et Toto repasse en s’exclamant - Regarde maman
 Sans les dents !!! Blagues Un vieux monsieur qui va se confesser. C'est un vieux monsieur qui va se confesser. Il rentre dans le confessionnal et le curĂ© commence - Allez-y mon fils. Confessez vos pĂ©chĂ©s... - Eh bien voilĂ  mon PĂšre. Ce que j'ai Ă  vous avouer n'est pas joli joli... Pendant la guerre de 40-45 j'ai reçu la visite dans la ferme d'une jeune fille juive qui voulait se cacher des Allemands. Alors je l'ai cachĂ©e dans mon grenier et comme ça, ils n'ont jamais pu la trouver. - Mais c'est trĂšs bien ça ! C'est mĂȘme un acte de rĂ©sistance. Ce n'est pas un pĂ©chĂ© et ça pourrait mĂȘme vous valoir une mĂ©daille... - Mais je n'ai pas fini, mon PĂšre... A l'Ă©poque, j'Ă©tais jeune plutĂŽt viril si voyez ce que je veux dire.... Alors je lui ai dit qu'en Ă©change de cette cachette que je lui offrais, elle devrait m'accorder ses faveurs... sexuellement parlant... Le curĂ© rĂ©flĂ©chit une minute puis reprend - Eh bien, les temps Ă©taient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un trĂšs gros risque en la cachant chez vous... Je suis sĂ»r que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bontĂ© saura reconnaĂźtre en vous l'Ăąme charitable plutĂŽt que le simple profiteur d'une situation dramatique... - Oh merci mon PĂšre. C'est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une autre question ? - Mais bien sĂ»r, mon fils. - Est-ce que je dois lui dire maintenant que la guerre est terminĂ©e ? Blague Le pirate alcoolique Un pirate alcoolique rentre dans un bar chrĂ©tien avec son peroquet, au dessus du comptoire il y a la croix avec jĂ©sus. La pirate cria - Une biĂšre sivouplait! Et le perroquet - moi, jveux un coca! Le pirate -si tu dit encore une fois sa je te dĂ©plume et je te remet sur mon dos. Allez deuxiĂšme tournĂ© de biĂšre ! Le perroquet - moi jveux un coca! Le pirate le pris le depluma et le remetta sur son dos -la prochaine fois je te clou sur une planche de bois, une biĂšre! -Moi jveux un coca! Le pirate pris le perroquet, et le cloua sur deux planches qui formaient une croix. Puis il lacrochit a cĂŽtĂ© de celle de JesĂșs. Et le perroquet declara a JesĂșs "Toi ausssi tu voulais un coca? " Dansl'Ouest amĂ©ricain. Un shĂ©rif adjoint un peu con arrĂȘte un automobiliste pour excĂšs de vitesse. L'automobiliste pressĂ© tente de se dĂ©fendre: - Mais, shĂ©rif, j'ai une explication, laissez-moi parler et vous verrez, vous me laisserez partir! Le shĂ©rif rĂ©pond: - Taisez-vous! je vous emmĂšne au poste. lĂ  vous attendrez bien sagement
Policier Accueil Blagues Policier Des policiers arrĂȘtent un conducteur Ă  la sortie d'une boite de nuit. Ils lui demandent de souffler dans l'alcootest, mais le conducteur refuse sous prĂ©texte qu'il est asthmatique. Les policiers lui demandent alors de les suivre pour une prise de sang, mais le conducteur refuse sous prĂ©texte qu'il est hĂ©mophile. Un policier demande donc au conducteur de sortir du vĂ©hicule et de tenir en Ă©quilibre sur un pied, et le conducteur lui rĂ©pond - "Impossible monsieur l'agent, je suis bourrĂ©!" Deux policiers dans une ville appellent le QG - Chef, une femme vient de tirer un coup de fusil sur son mari parce qu'il avait marchĂ© sur le carrelage qu'elle venait de laver. - Vous arrĂȘtez la femme ? - Euh ... Non chef, le carrelage n'est pas encore sec !! Un homme qui aimait pousser un peu sa voiture atteint 160km/h sur l’autoroute. C’est alors qu’il aperçoit une voiture de police qui tente de le rattraper. Il appuie sur l’accĂ©lĂ©rateur et atteint cette fois 200 km/h. Toujours poursuivi, il dĂ©cide de ralentir et de se laisser rattraper. Le policier s’approche, prend ses papiers sans dire un mot, les examine, jette un coup d’Ɠil Ă  la voiture et lui dit - Écoutez, je termine mon service et je suis pressĂ©. Je n’ai pas envie de rĂ©diger une contravention. Alors, si vous me donnez une excuse que je n’ai jamais entendue, je vous laisse aller. L’homme hĂ©site un moment et lui rĂ©pond - La semaine derniĂšre, un policier est parti avec ma femme... - Et alors ?! rĂ©torqua le policier. - Eh bien, je croyais que c’était lui qui essayait de me la ramener. Un homme se fait arrĂȘter par la police. - Soufflez dans le ballon s’il vous plait. - Je peux pas, je suis asthmatique - On va vous faire une prise de sang alors
 Je peux pas je suis hĂ©mophile Sortez de la voiture et essayez de marcher en suivant cette ligne blanche s'il vous plaĂźt - Je peux pas je suis bourrĂ© !!! Le tĂ©lĂ©phone sonne au commissariat de la PJ - Police national, bonjour. - Bonjour, J'appelle pour signaler mon voisin Tom. Il cache de la marijuana dans son bois de chauffage ... - C'est notĂ©. Le lendemain, la PJ arrive Ă  la maison de Tom. Ils cherchent le hangar oĂč le bois de chauffage est gardĂ©. Ils fendent chaque bĂ»che, ne trouvent pas de marijuana. Ils abandonnent, mĂ©contents de s'ĂȘtre dĂ©placĂ©s pour rien. Le tĂ©lĂ©phone sonne chez Tom. - HĂ©, Tom ! Est-ce que la PJ est venue? - Ouais - Est-ce qu'ils ont coupĂ© ton bois de chauffage? - Ouais,nickel. - OK, maintenant c'est Ă  ton tour de les appeler. J'ai besoin de faire labourer mon jardin... Le pape arrive Ă  l'aĂ©roport de Roissy oĂč l'Ă©tat a mis Ă  sa disposition une limousine. Or le pape est un FAN d'automobile. Il supplie le chauffeur de lui laisser prendre le volant. AprĂšs quelques hĂ©sitations, ce dernier finit par se laisser convaincre et prend la place du pape Ă  l’arriĂšre pendant que celui-ci passe Ă  l'avant. Le pape dĂ©marre, emprunte le pĂ©riphĂ©rique et commence Ă  pousser un peu le vĂ©hicule histoire de voir ce qu'elle a sous le capot. A ce moment-lĂ  il se fait flasher et une moto de la gendarmerie stoppe la limousine. La vitre teintĂ©e se baisse, et le gendarme aperçoit le pape. Livide, il, prend son talkie-walkie - Allo brigadier chef ? - Oui je vous entend. - A fortiori, nous venons d'arrĂȘter quelqu'un de trĂšs important pour excĂšs de vitesse. - Ah bon ? Le prĂ©fet ? - Non monsieur. Plus important. - Un ministre ? - Non monsieur. Plus important. - Enfin... Le prĂ©sident de la rĂ©publique ? - Non Monsieur. Plus important. - Ne me dites pas que c'est Barack Obama ! - Non Monsieur. Plus important. - Enfin ce n'est pas possible ! Dites-moi enfin de qui il s'agit ! - Écoutez, je ne sais pas, mais il a le pape comme chauffeur. Un policier arrĂȘte un homme et dit - Monsieur ,vous n'avez pas vu le feu rouge ? Et l'homme dit - Oui oui ,c'est vous que je n'avais pas vu ! Un petit garçon se promĂšne sur son vĂ©lo. Un policier Ă  cheval arrive et lui dit - Oh ! Dis donc il est beau ton vĂ©lo! - Merci ! rĂ©pond le petit garçon. - C'est le pĂšre NoĂ«l qui te l'a donnĂ©? - Ben oui... - Ben, tu lui diras qu'il a un dĂ©faut. - Comment ça, un dĂ©faut? - Ben oui, t'as pas de lumiĂšres Ă  l'arriĂšre. Je vais devoir te mettre une amende de 35€. - Monsieur, vous avez donc un beau cheval ! - Merci ! rĂ©pond le policier. - C'est le pĂšre NoĂ«l qui te l'a donnĂ©? - Oui. - Ben, tu lui diras qu'il a un dĂ©faut ! - Comment ça un dĂ©faut? - Ben oui, normalement, le trou de cul il est derriĂšre le cheval, pas dessus... Un automobiliste se rend dans une gendarmerie pour se plaindre d'un fait - Bonjour je viens dĂ©poser une plainte - Oui que s'est-il passĂ© ? - Un connard m'a volĂ© mon permis de conduire - Pouvez vous nous le dĂ©crire - Oui il Ă©tait habillĂ© exactement comme vous ! Un policier arrĂȘte un homme dans sa voiture. Le policier demande Ă  l'automobiliste - Alcool, drogues ? L'homme rĂ©pond - Non merci j'ai ce qu'il faut !
EnArgentine, lors d'une manifestation d'ouvriers, un groupe de gendarmes et policiers traverse une route Ă  fort trafic. L'un des gendarmes va se jeter volontairement sur le pare-brise d'une voiture qui est en train de rouler et ainsi simuler un accident de la route. Le gendarme a fait cela dans le but de bloquer la circulation. Le conducteur automobile samedi 7 mars 2009 L'humour du gendarme! Sur la route, un automobiliste appelle les secours - AllĂŽ, la gendarmerie ? J'ai Ă©crasĂ© un poulet, qu'est-ce que je fais ?- Eh bien, plumez-le et faites-le Et qu'est-ce que je fais de la moto ?L'automobiliste, au policier qui vient de l'arrĂȘter - Faudrait savoir !!!... Un jour vous m'enlevez le permis, et le lendemain vous me demandez de vous le montrer !!! Une jeune fille, qui vient de se prĂ©senter Ă  l'examen du permis de conduire, rentre chez elle. Son pĂšre la questionne : - Alors, comment ça c'est bien passĂ© ? - J'en sais rien. - Comment ça ! L'examinateur ne t'a rien dit ? - Mais non, rien On l'a transportĂ© directement Ă  l'hĂŽpital Un gendarme fait stopper un automobiliste : Vous inventez des blagues ou vous en connaissez des bonnes, partagez-les nous et n'importe qui pourra les noter ou les commenter. Retour > MĂ©tiers > Affiner votre recherche C'est un technocrate européenC'est un technocrate européen qui a décidé que dorénavant, tous les oeufs de poule devraient ÃÂȘtre datés du jour de ponte. Naturellement, on fait procéder à des inspections surprises... Dans une petite fermette du fin fond de la Creuse, un inspecteur de la ramÚne sa fraise. - Bonjour madame. Je suis inspecteur de la...Soumis par sanddy dans Métiers > Agriculteurs - Note moyenne 9/20 - Rival dit C incomprehensible '; return true; " onmouseout="bulleCache;" href="javascriptOuvrirPopup' '', 'resizable=no, location=no, fullscreen=no, width=500, height=500, menubar=no, status=no, scrollbars=yes'" onMouseOver=" true">3 commentaires - Lire la blagueUn jeune avocat voulant se faire un nom hériteUn jeune avocat voulant se faire un nom hérite d'un cas typique de vol avec effraction. Et en flagrant délit, de surcroÃt. Mais il tente sa chance et décide d'adopter une défense originale - Votre Honneur, le bras de mon client est passé à travers une vitre peu solide, et a ramassé quelques menus objets qui ne valent pas grand ...Soumis par sanddy dans Métiers > Avocats - Lire la blagueC'est un gars qui est chez le coiffeurC'est un gars qui est chez le coiffeur et a qui le coiffeur demande quelle coupe il désire. Le gars répond - Je voudrais, rasé sur le cÎté gauche, la banane mais juste à droite et de travers, la brosse sur le dessus mais avec un trou au milieu, la nuque dégarnie mais avec quelques touffes par-ci par-là . Le coiffeur lui répond que...Soumis par sanddy dans Métiers > Coiffeurs - Note moyenne - 3 commentaires - Lire la blagueL'électricien à son assistantL'électricien à son assistant - Jules, prends l'un de ces deux fils, s'il te plaÃt ! - Ca y est, j'en ai un ! - Tu ne sens rien ? - Non, rien du tout... - Ok, alors, ça doit ÃÂȘtre l'autre. Surtout n'y touche pas, il y a du volts dessus... Soumis par sanddy dans Métiers > Electriciens - Note moyenne 10/20 - Lire la blagueAu revoir papa...Un papa va coucher sa petite fille de trois ans. Il lui raconte une histoire et écoute ses priÚres qu'elle termine en disant - ProtÚge ma maman, protÚge mon papa, protÚge ma grand-mÚre et au revoir grand-pÚre. Le papa demande - Pourquoi dis-tu au revoir grand-pÚre ? La petite fille dit - Je ne sais pas papa, ça me semblait...Soumis par sanddy dans Métiers > Facteurs - Note moyenne - Lire la blagueMontant de vos honoraires...Un homme demande à un avocat 'quel est le montant de vos honoraires ?' L'avocat lui répond qu'il est de 2000 € pour trois questions. L'homme lui demande alors "n'est-ce pas un peu excessif ?" et l'avocat lui répond Non. Quelle est votre troisiÚme question ? Soumis par sanddy dans Métiers > Avocats - Note moyenne 12/20 - Lire la blague
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Voiciune sĂ©lection des meilleures blagues MĂ©tiers et fonctionnaires du net (181 blagues trouvĂ©es): Un gendarme fait stopper une automobile : - Vous n'aviez pas vu le feu rouge ? - Si si. C'est vous que je n'avais pas vu ! - Le commissaire de police questionne un jeune Le commissaire de police questionne un jeune agent qui vient d' ĂȘtre recrutĂ©: -
Un curĂ© qui se promĂšne dans la nature est pris dans les tourbiĂšres non loin de La Godivelle. Alors qu'il s'enfonce jusqu'aux chevilles un camion de pompiers d' Espinchal passe par lĂ . - Vous n'avez pas besoin d'aide ? Non, je crois en Dieu, il me viendra en aide ! Alors que le curĂ© s'enfonce jusqu'Ă  la ceinture, le camion repasse et les pompiers lui reposent la question ? - Vous n'avez pas besoin d'aide ? Non, je crois en Dieu, il me viendra en aide ! Lorsque le curĂ© n'a plus que la tĂȘte hors de la tourbiĂšre , les pompiers passent une troisiĂšme fois ? - Vous n'avez toujours pas besoin d'aide ? Non, j'ai la foi en Dieu, il me viendra en aide ! Alors, le curĂ© s'enfonce complĂštement et lorsqu'il arrive au paradis il dit Ă  Dieu ; " J'ai eu la Foi, j'ai cru en Toi et tu n'as rien fait ! " Dieu lui rĂ©pond ; "Comment ça je n'ai rien fait, je t'ai envoyĂ© 3 fois les pompiers !!!" Sur la route des vacances, un couple de personnes ĂągĂ©es s’arrĂȘte Ă  une station de services Ă  Massiac Le pompiste arrive et demande – Bonjour. Je vous fais le plein? – Oui allez-y, rĂ©pond le vieux monsieur La vieille dame demande alors – Qu’est-ce qu’y dit? – Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, rĂ©pond le vieux en criant. Le pompiste demande – Alors, vous allez oĂč comme ça? – On va passer les vacances Ă  Vic sur CĂšre, dans la villa de notre fils, rĂ©pond le vieux. La vieille dame demande alors – Qu’est-ce qu’y dit? – Y DEMANDAIT OU ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU’ON ALLAIT À VIC SUR CERE Dans Le Cantal Le pompiste – Vous avez de la chance. Vous allez avoir du beau temps pour les 15 jours qui viennent La vieille – Qu’est-ce qu’y dit? – Y DIT QU’Y FERA BEAU LA-BAS Le pompiste – Et oĂč habitez vous quand vous n’ĂȘtes pas en vacances? – On habite Vichy dans L'allier, rĂ©pond le vieux – Ah ouais?! Je connais bien lĂ  bas Ă  Vichy J’ai connu une fille un jour. Elle ne pouvait pas s’arrĂȘter de parler, et en plus elle Ă©tait nulle au lit. Vraiment, c’était pas une affaire! La vieille – Qu’est-ce qu’y dit? – Y DIT QU’Y TE CONNAIS BIEN! Ne jamais se surestimer L'histoire se dĂ©roule dans une petite ferme sur la commune Blanzac aux environs du Puy en Velay Mamy, proche de la mort, est dans son lit, Papy est a ses cotĂ©s
 Mamy lui demande – Vas dans le grenier, au fond a gauche, tu trouveras une boite
 Papy monte au grenier, et y dĂ©couvre, sous la paille, une petite boite dans laquelle il y a 3 Ɠufs, et 5000€. Il va auprĂšs de mamie sur son lit de mort, et lui demande – C’est quoi ces 3 Ɠufs ? Mamy lui rĂ©pond – Chaque fois que je n’avais pas d’orgasme avec toi, pendant ces 50 ans d’amour, je mettais un Ɠuf dans cette boite
 Papy, trĂšs fier de n’y trouver que 3 Ɠufs en 50 ans d’amour, demande alors – Et ces 5000€ ? Mamy lui rĂ©pond – Chaque fois que j’en avais une douzaine, j’allais les vendre au marchĂ© place du Plot. Petite blague reçu aujourd'hui Le WIFI dans le Cantal !!! C'est un homme qui se rend dans un restaurant cantalien, Ă  Pierrefort, pour dĂ©jeuner. ArrivĂ© sur les lieux, son smartphone capte la connexion Wi-Fi du restaurant. Quand la serveuse vient prendre sa commande, il lui demande - S'il vous plaĂźt, mademoiselle, pourrais-je avoir le mot de passe du Wi-Fi ? - Mangez d'abord, monsieur. Le monsieur s'empresse alors de commander un repas copieux. AprĂšs avoir fini de manger, il redemande Ă  la serveuse - Ça y est, j'ai fini de manger, pourrais-je avoir ce mot de passe maintenant ? - Mangez d'abord. Le monsieur, se sentant un peu gĂȘnĂ©, commande un second plat. AprĂšs s'ĂȘtre gavĂ© avec, il s'en va directement demander le mot de passe au gĂ©rant, un nommĂ© Albert MaziĂšres pour ceux qui connaissent - Excusez-moi monsieur MaziĂšres, mais vos serveuses me font du chantage. Elles veulent que je commande d'abord Ă  manger avant de pouvoir obtenir d'elles le mot de passe de Wi-Fi. Pouvez-vous me le donner, s'il vous plaĂźt ? - C'est "mangezdabord", sans majuscule, sans espace et sans apostrophe Dans les rues du Puy en Velay Un prĂȘtre marchait dans la rue en direction de la cathĂ©drale et vit un petit garçon en short sous un porche d'une maison bourgeoise qui essaye d'appuyer sur la sonnette . Le garçon Ă©tait vraiment petit et la sonnette Ă©tait vraiment trop haute pour lui. AprĂšs avoir remarquĂ© les efforts de ce petit garçon, l'homme en soutane s'approche de lui, passe son bras au dessus de son Ă©paule et appuie franchement sur la sonnette. Se baissant alors vers le petit garçon, le prĂȘtre attend des remerciements. Il lui sourit et lui demande - "Et maintenant, mon petit garçon, que fait-on ? " Le garçon rĂ©pondit -" Maintenant ! On court ! ! ! ! !" Les gens qui travaillent demandent souvent Ă  ceux qui sont Ă  la retraite ce qu'ils font de leur journĂ©e. HĂ© bien par exemple, l'autre jour avec ma femme nous sommes allĂ© Ă  Jaude Ă  Clermont-Ferrand et nous sommes entrĂ©s dans un grand magasin. Nous n'y sommes d'ailleurs restĂ©s que 5 minutes pas assez de sous pour acheter mais ça c'est pas nouveau on le voit tous les jours en ce moment un flic Ă©tait en train de remplir une amende de stationnement autour d'une voiture. Nous nous sommes approchĂ©s avec notre air le plus affable et lui avons suggĂ©rĂ© - Allez, vous ferez bien un petit geste envers des retraitĂ©s ? Il nous a ignorĂ© superbement en continuant Ă  remplir son PV. Je l'ai alors traitĂ© de "gros porc" ! Il m'a regardĂ© en biais et a commencĂ© Ă  remplir un autre PV pour "pneus lisses". A son tour, ma femme l'a traitĂ© de "roi des trous du cul". Imperturbable, il a fini le deuxiĂšme PV, l'a mis sous l'essuie-glace et en a entamĂ© un troisiĂšme. Plus on l'insultait, plus il remplissait de PV... Personnellement on s'en fichait, on Ă©tait venu en bus. Depuis notre retraite, nous essayons chaque jour de nous amuser un peu en faisant en sorte que cela reste dans notre budget . C'est important pour rester en bonne forme Ă  notre Ăąge. PsJ'ai un profond respect pour les forces de l'ordre et la gendarmerie et j’espĂšre qu'ils ne m'en voudront pas trop. L'histoire se dĂ©roule dans un petit village d'Auvergne et pour cause qu'en on connait son auteurmais elle pourrait se dĂ©rouler n'importe ou en France J'suis pas un imbĂ©cile moi, j'suis douanier. J'aime pas les Ă©trangers, ils viennent manger l'pain des français... ouais ! C'est curieux comme profession, j'suis douanier, et puis j'aime pas les Ă©trangers... Hein ? Quand j'vois un Ă©tranger qui arrive, puis qui mange du pain, j'dis "ça c'est Mon pain !" Puisque j'suis français, et puis il mange du pain français, donc c'est MON pain Ă  moi. J'aime pas les Ă©trangers parce que moi je suis français, et je suis fiĂšr d'ĂȘtre français. Mon nom Ă  moi, c'est Koularkientensky du cĂŽtĂ© de ma mĂšre... et Piazzano-Venditti du cĂŽtĂ© d'un copain Ă  mon pĂšre. C'est pour vous dire si j'suis français ! J'aime pas les Ă©trangers, ils viennent manger l'pain des français... Dans le village oĂč on habite, on a un Ă©tranger, alors, quand on le voit passer, on dit "Tiens, ça, lĂ , ça - c'est l'Ă©tranger". On l'montre du doigt, comme un objet... On n'a pas de respect. Quand on a du respect pour un ĂȘtre humain, on ne dit pas "ça", lĂ , non. On dirait "Ce monsieur"... C'est un Ă©tranger, il vient manger l'pain des français... Quand sa femme passe, la tĂȘte basse, avec ses p'tis enfants qui baissent la tĂȘte; on dit "Ça, ça lĂ , c'est des Ă©trangers ils viennent bouffer l'pain des français." L'autre dimanche, dans mon village, j'avais Ă©tĂ© - c'Ă©tait Ă  la sortie de la messe de dix heures - j'avais Ă©tĂ© communier au cafĂ© d'en face. Y a l'Ă©tranger qui a voulu me parler. Moi, j'avais aute chose Ă  faire, pensez, parler avec un Ă©tranger ! J'avais mon tiercĂ© Ă  prĂ©parer... Je suis douanier. Je suis pas un imbĂ©cile. Enfin, du haut de ma grandeur, Ă©tant fonctionnaire, j'ai daignĂ© l'Ă©couter, cet imbĂ©cile il est Ă©tranger, forcĂ©ment... Il m'a dit, euh Ne pensez vous pas qu'Ă  notre Ă©poque 1972, c'est un peu ridicule de traiter certaines personnes d'Ă©trangĂšres, nous sommes tous Ă©gaux. VoilĂ  ce que j'avais sur le cƓur, je voulais vous dire ça, Monsieur le Douanier, vous qui ĂȘtes fonctionnaire et trĂšs important, vous qui avez le bouclier de la loi... Nous sommes tous Ă©gaux. On peut vous le prouver quand un chirurgien opĂšre un cƓur humain, que ce soit au Cap, Ă  GenĂšve, Ă  Washington, Ă  Moscou, Ă  PĂ©kin, il s'y prend de la mĂȘme maniĂšre nous sommes tous Ă©gaux. » Pauvre andouille va ! Venir me dĂ©ranger pour dire des inepties pareilles !!! Il a poursuivi... Ils sont tellement bĂȘtes ces Ă©trangers, ils viennent manger l'pain des français. Y m'a dit... euh ... Est-ce que vous connaissez une race oĂč une mĂšre aime d'avantage ou moins bien son enfant qu'une autre race ? » LĂ , j'ai rien compris Ă  ce qu'il a voulu dire... J'en ai conclu, qu'il Ă©tait bĂȘte... En effet, lorsque quelqu'un s'exprime et que l'on comprend pas ce qu'il dit, c'est qu'il est bĂȘte ! Et moi je peux pas ĂȘtre bĂȘte, .... je suis douanier ... "Vas-t-en, Ă©tranger !" Il m'a rĂ©pondu J'en ai ras-le-bol, moi. Votre pain, et votre France. Je m'en vais. » Il a pris sa femme, sa valise, ses enfants, ils sont montĂ©s sur un bateau, ils ont Ă©tĂ© loin au delĂ  des mers, lououain... Et, depuis ce jour lĂ , dans notre village, eh ben on mange plus de pain, dit ! Il Ă©tait boulanger !!! c Fernand Raynaud L'histoire se passe il y a quelques annĂ©es. Une vieille dame, habitant a Clermont Ferrand au huitiĂšme Ă©tage de la muraille de Chine, demande Ă  deux jeunes en bas de l'escalier de l'aider Ă  monter ses courses, car l'ascenseur est en panne. Ils lui rĂ©pondent - DĂ©brouille toi tout seul, la vieille. - Allez soyez gentils, je vous donnerai du shit. - Oh tu dĂ©connes, t'as du shit ? - Promis, je vous en donne si vous m'aidez. Huit Ă©tages plus tard - Ouf ! que c'est haut, bon fait voir ton shit la vieille, t'as intĂ©rĂȘt Ă  pas t'ĂȘtre foutu de nous. - Mais pas du tout. Ouvrant son frigo, elle leur demande - Qu'est-ce que vous prĂ©fĂ©rez, Shit orange ou Shit citron ? Comme quoi le respect est valable pour tout le monde Alors qu'il mange tranquillement Ă  la cantine, un professeur d'universitĂ© Blaise Pascal de Clermont-Ferrand voit un Ă©lĂšve s'installer devant lui. Il lui dit alors, en ricanant - Les oiseaux et les cochons ne mangent pas ensemble. Le Mathieu petit campagnard sans prĂ©tention du hameau de Boutaresse dans le Puy de DĂŽme rĂ©pond, avant de s'en aller - Oh ! Excusez-moi, je prends donc mon vol. Honteux de s'ĂȘtre fait avoir, il dĂ©cide lors de sĂ©ance de cours de lui donner un contrĂŽle avec des questions trĂšs difficiles. Mais Mathieu rĂ©ussi. Il lui pose alors une question - Vous avez 2 sacs un remplit d'argent et l'autre d'intelligence. Que choisissez vous ? Mathieu rĂ©pond - L'argent. Le prof dit - Moi j'aurais choisi l'intelligence. Mathieu rĂ©pond - Normal, on choisit toujours ce qui nous manque. Le prof prend alors la copie, Ă©crit "gros connard" et lui rend. 2 minutes plus tard Mathieu revient - Hep, monsieur. Vous avez signĂ© mais vous n'avez pas mis de note ! Sur la ligne Clermont –Aurillac. Le François qui montait en gare des Martres de Veyre est tranquillement bien installĂ© dans un train pour admirer sa belle rĂ©gion Auvergnate. Soudain, un autre vient vers lui et lui dit - DĂ©solĂ© monsieur, mais vous ĂȘtes assis Ă  ma place. Il rĂ©pond - Mais monsieur, j'Ă©tais lĂ  avant vous. Le François insiste - Oui, mais c'est ma place. L'autre explique donc - Vous savez il y a plein d'autres places dans le train. Mais le François insiste encore et toujours - Peut-ĂȘtre, mais n'empĂȘche que c'est ma place. François assis commence Ă  ĂȘtre agacĂ© par son comportement et lui demande donc - Mais vous avez une preuve que c'est votre place ? Et l'autre rĂ©pond - Bien sĂ»r, je suis le conducteur. Un fermier de Prunet dans le Cantal va chez l’un de ses voisins et frappe Ă  sa porte. Un gamin lui ouvre – Est-ce que ton pĂšre est lĂ  ? – Non Monsieur, nous sommes la saint GĂ©raud et il est parti Ă  la foire d’Aurillac – Est-ce que ta mĂšre est lĂ  ? – Non Monsieur elle est avec mon pĂšre Ă  Aurillac – Et ton frĂšre, lui, est-il ici ? – Non monsieur, il est allĂ© dans les champs avec le tracteur. Le fermier reste plantĂ© lĂ  pendant quelques minutes maugrĂ©ant entre ses dents. Le gamin lui dit alors – Si c’est pour emprunter quelque chose, monsieur, je sais oĂč sont les outils, je peux aussi transmettre un message si ça peut vous aider . – Bon, dit le fermier, j’aurais vraiment voulu parler Ă  ton pĂšre Ă  propos du fait que ton grand frĂšre a mis ma fille Suzie enceinte. Le garçon rĂ©flĂ©chit un moment et dit – Il va effectivement falloir que vous voyez ça avec mon pĂšre. Je sais qu’il prend 500 € pour le taureau et 150 € pour le bouc
 Mais pour mon frĂšre, je ne connais pas le tarif !. Aujourd'hui jour d'ouverture de chasse voici deux petites histoires L' pĂšre Victor est allĂ© Ă  Issoire voir l'Docteur - VoilĂ  docteur, chuis ben embĂȘtĂ©, dit-il , Ă  moĂ»n Ăąge y en a beaucoup qui vous demand'raient du Viagra. Moi j'en ai point b'soin, j'ai la zigounette encore ben vaillante, seulement voilĂ , Ă  chaque fois qu'elle s'met au garde Ă  vous, chuis dans les champs assez loin de la maison aux environs de Neschers , l'temps de r'tourner Ă  la ferme voilĂ  quelle r'garde Ă  nouveau mes bottes. Le mĂ©decin hoche la tĂȘte d'un air grave. - Vous n'auriez pas des fois un truc pour z'y maintenir la tĂȘte haute jusqu'Ă  la ferme ? lui demande Victor. -J'ai bien une idĂ©e, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites Ă  votre femme que lorsqu'elle entendra tirer en l'air qu'elle coure vous rejoindre. - Tirer en l'air pour tirer un coup ? En v'la une idĂ©e qu'elle est pas mauvaise ! Quelque temps plus tard v'lĂ  t'y pas que l'Victor dĂ©barque dans le cabinet du docteur. - J'viens vous voir, rapport au fusil ! - Pourquoi ça ne marche pas ? - Oh ! ça eu marchĂ©, fait l'Victor, mais ça n'marche plus. Pendant tout l'Ă©tĂ© j'tirais en l'air... la Sylvette rappliquait en courant et hop ! j'la bouriaudais dans les broussailles ! - Oui, et alors, demande le mĂ©decin, oĂč est le problĂšme ? - Ben... d'puis l'ouverture d'la chasse, j'la vois pus ! C'est un jeune couple Clermontois trĂšs puritain qui se promĂšne en campagne. Dans le petit hameau de Pouchenirgues dans le Puy de DĂŽme un Ăąne est dans un prĂ© Ă  l’entrĂ©e du village avec son sexe entiĂšrement dehors. Marie demande Ă  son futur conjoint - Mais chĂ©ri, qu'est-ce que c'est ce truc qui sort de l'Ăąne ? Son ami un peu confu lui rĂ©pond - Tu vois mon amour, c ... c ... c'est le sexe de l'Ăąne. Tout Ă  coup la femme tombe dans les pommes et son amoureux, aprĂšs de longues minutes, la rĂ©anime et lui demande - Qu'est-ce qui t'arrive ? Et elle lui rĂ©pond - Mais chĂ©ri, si un Ăąne en a une comme ça, je n'ose mĂȘme pas imaginer la tienne, toi qui est ingĂ©nieur ! Petite histoire pour vous dire qu’En ville il peut arriver que les gens se cĂŽtoient de plus prĂšs qu’on le pense contrairement Ă  ce qu’on dit qu’en ville tout le monde s’ignore » Dans un quartier de Clermont que ne nous citerons pas Raymond va consulter son mĂ©decin - Je suis trĂšs ennuyĂ©, docteur, mon fils a couchĂ© avec une fille qui lui a refilĂ© une sale maladie... - Qu'il vienne me voir. - C'est que, poursuit le malheureux, il l'a refilĂ© Ă  la bonne. - Oh oh! - Et la bonne me l'a transmise. - Ah, la, la! Bon! Voyons ça! - Mais c'est pas tout, docteur! Avoue encore Raymond, forcĂ©ment, moi, au courant de rien, j'ai du la refiler Ă  Denise ma femme... - N... de D...! Hurle alors le mĂ©decin, alors, Ă  cause de ce petit con, nous voila tous contaminĂ©s Ayant fait ses Ă©tudes Ă  Clermont Ferrand , le fils d'un paysan des environs de Courgoul supplie depuis un certain temps son pĂšre de remplacer la cabane en planches qui sert de au fond du jardin, prĂšs de la Couze, par des toilettes modernes Ă  l'intĂ©rieur de la ferme. Mais le vieux ne veut rien entendre. Alors un soir, le jeune homme dĂ©cide d'en finir, Il profite que la Couze est forte va jusqu'Ă  la cabane, et d'un grand coup de pied il la balance dans la riviĂšre. Le lendemain matin, le pĂšre entre dans la chambre de son fils - Dis-moi, mon gars, ça serait-y pas toi qu'aurais foutu les chiottes dans la riviĂšre ? - Non, papa... - Attention, faute avouĂ©e, faute Ă  moitiĂ© pardonnĂ©e. Souviens-toi, quand le fils Ă  Mathieu a coupĂ© la grosse branche du pommier, il l'a avouĂ© et le Mathieu a pardonnĂ©. Alors je rĂ©pĂšte ma question ça serait-y pas toi qu'aurais foutu les chiottes dans la riviĂšre ? - Oui, papa, c'est moi... Alors le vieux l'empoigne, le sort du lit, et entreprend de lui flanquer une volĂ©e mĂ©morable. Et tandis que les coups pleuvent, le malheureux garçon supplie - ArrĂȘte, papa, arrĂȘte ! Tu m'avais dit, faute avouĂ©e faute pardonnĂ©e ! Tu avais mĂȘme pris l'exemple du fils de Mathieu qui avait sciĂ© la branche du pommier -C'est pas du tout pareil ! crie le pĂšre en continuant de frapper. Parce que quand le fils Ă  Mathieu a sciĂ© la grosse branche du pommier, le Mathieu il Ă©tait pas dans le pommier! Un homme perdu dans la nuit aux environs de Noyant dans l’Allier trouve la trace d'une maison oĂč il est accueilli par un vieux chinois - Je suis perdu, pouvez vous m'hĂ©berger pour la nuit? - Bien-sĂ»r! À une condition. Si vous toucher Ă  un seul cheveux de ma fille je vous infligerai les 3 pires supplices chinois connus. - Ok! RĂ©pond l'homme pensant que de toute façon la fille devait ĂȘtre bien vieille. En fait, au dĂźner il se rend compte que la fille et superbe et qu'en plus elle n'arrĂȘte pas de lui faire de l'Ɠil. Mais se souvenant de l'avertissement du vieillard il prĂ©fĂšre s'abstenir de quoi que ce soit. Cependant au milieu de la nuit, il n'en peut plus. Il sort de sa chambre et rejoins la fille pour une nuit de folie. Puis il retourne se coucher en faisant attention de ne pas faire de bruit. Le lendemain il se rĂ©veille sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux il voit un Ă©norme bloc de pierre posĂ©e sur son torse avec une note - "Premier supplice chinois. Grosse pierre posĂ©e sur poitrine." Le gars un peu déçu ce dit que si c'est ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n'est pas vraiment terrible. Il prend le bloc marche vers la fenĂȘtre et le balance par dessus bord. À ce moment lĂ  il aperçoit une autre note disant -" DeuxiĂšme supplice chinois. Grosse pierre reliĂ© Ă  testicule gauche." Pris de panique il voit le fil liant son testicule gauche Ă  la pierre qui commence Ă  se tendre. DĂ©cidant que quelques os cassĂ©s valent mieux que la castration il saute par la fenĂȘtre. C'est en tombant qu'il voit une pancarte sur le sol avec Ă©crite -" TroisiĂšme supplice chinois. Testicule droit liĂ© au pied du lit." Le petit Thomas Ă  l’école Sainte Dominique en Haute Loire le nom du village ne sera pas citĂ© par respect au directeur demande Ă  sa maĂźtresse s'il peut lui parler aprĂšs le cours. Elle accepte. -Alors, que veux-tu me dire Thomas ? -Je pense ĂȘtre bien trop intelligent pour rester dans cette classe, je m'embĂȘte. Je voudrais directement passer au lycĂ©e. Sur ce, le directeur informĂ©, demande Ă  Thomas s'il veut bien passer des tests. Le gamin accepte sans hĂ©siter. Alors le directeur, pour clore l'entretien rapidement, commence le test. - Voyons voir Thomas 36x49 ? - 1764 ! - Et 363x363 ? - 131 769, Mr le directeur... - Capitale du Liechtenstein ? - Vaduz ! Le test continue pendant une demi-heure. Thomas ne fait aucune erreur. A la fin du test le directeur est satisfait, mais la prof demande Ă  son tour, si elle peut lui poser des questions. Le gamin et le directeur acceptent, la prof commence - Bon, Thomas... la vache, elle en a 4 et moi j'en ai 2, qu'est-ce que c'est ? - Les jambes, madame ! - Correct. - OĂč est-ce que les femmes ont les poils les plus frisĂ©s ? Le directeur est de plus en plus gĂȘnĂ©... - En Afrique, madame ! - Qu'est-ce qu'on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ? Le directeur ouvre des yeux surpris... - Des poches, madame ! - Qu'est-ce qui est mou, mais qui devient dur avec les mains d'une femme ? Le directeur est de plus en plus Ă©tonnĂ©, mais avant qu'il ait eu le temps de parler, le gamin rĂ©pond - Le vernis Ă  ongles, madame ! - Qu'est-ce que les hommes et les femmes ont au milieu des jambes ? - Les genoux, madame ! - Bien. Et qu'est-ce qu'une femme mariĂ©e a de plus large qu'une femme cĂ©libataire ? Le directeur n'en croit pas ses oreilles... - Le lit, madame ! -Parfait, quelle est la partie de mon corps, qui est souvent la plus humide ? - Votre lange, madame ! - Quel mot commençant par la lettre "c", dĂ©signe quelque chose qui peut ĂȘtre humide ou sec et que les hommes aiment regarder ? - Le ciel, madame ! Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, dĂ©cide d'arrĂȘter le test et s'exclame -Ce n'est pas au lycĂ©e que je vais t'envoyer, mais directement Ă  l'universitĂ© ! MĂȘme moi, j'aurais tout ratĂ© Ă  ce test ! Et vous auriez su rĂ©pondre au questionnaire






.oui

heu .non je ne crois pas vous auriez eu des arriĂšres pensĂ©es comme quoi quand on vieillit on devient malicieux Un auvergnat un peu rustre vient d'ĂȘtre engagĂ© dans une grosse entreprise multinationale Clermontoise DĂšs son premier jour, il prend son tĂ©lĂ©phone, appelle la cafĂ©tĂ©ria de l'entreprise sur le rĂ©seau interne et hurle - Apportez-moi un cafĂ© ! Et en vitesse ! De l'autre cĂŽtĂ©, une voix rĂ©pond - Je pense que vous avez composĂ© un mauvais numĂ©ro interne. Savez-vous Ă  qui vous parlez, espĂšce de crĂ©tin ? - ...Heu... Non... rĂ©pond le jeune engagĂ©. - Je suis le Directeur GĂ©nĂ©ral de la sociĂ©tĂ©, imbĂ©cile ! Le gars lui rĂ©pond alors en criant deux fois plus fort - Et vous, vous savez Ă  qui vous parlez espĂšce de gros bĂątard ? - ... Heu... Non... rĂ©pond le directeur, quelque peu interloquĂ©. - Parfait ! RĂ©pond le type. Et il raccroche son tĂ©lĂ©phone... Nous sommes Ă  Langeac au Super U Marc fait la queue Ă  la caisse au supermarchĂ© quand il remarque qu'une petite blonde canon lui fait un petit signe de la main et lui sourit. Il s'adresse Ă  elle gentiment > - Excusez- moi, on se connaĂźt ? Elle rĂ©pond en souriant > - Je peux me tromper, mais je pense que vous ĂȘtes le pĂšre d'un de mes enfants ! Les souvenirs du type le renvoient vers la seule et unique fois ou il est descendu de sa ferme des environs de Saugues et oĂč il a Ă©tĂ© infidĂšle et il demande - Miladiou , tu ne serais pas la petite cochonne que j'ai sautĂ©e sur la table devant tous mes potes lors d'une beuverie, pendant que ta copine me fouettait avec un cĂ©leri mouillĂ© et me poussait un concombre dans le trou de balle ? - Euh non ., rĂ©pond-elle en rougissant jusqu'aux oreilles, je suis la nouvelle institutrice de votre fils !!! Comme quoi qu'il n'y a pas qu'en ville qui s'en passent des bonnes et il faut bien tourner 2 fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Au salon de thĂ© dans Clermont Deux amies discutent - Alors, ta soirĂ©e d'hier, bien ? - Non c'Ă©tait un dĂ©sastre. Mon mari est arrivĂ© Ă , la maison, a avalĂ© en quatre minutes le dĂźner que j'avais passĂ© l'aprĂšs-midi Ă  prĂ©parer, a fait l'amour en trois minutes, s'est retournĂ© sur le cĂŽtĂ© et est tombĂ© endormi en deux minutes. Et toi ? - Oh c'Ă©tait incroyable ! En arrivant Ă  la maison, mon mari m'attendait, il m'a invitĂ©e pour un dĂźner trĂšs romantique. AprĂšs le dĂźner nous avons marchĂ© pendant une heure. RentrĂ©s chez nous, il a allumĂ© toutes les bougies dans la maison et nos prĂ©liminaires ont durĂ© une heure ! AprĂšs, nous avons fait l'amour pendant une heure ! Et aprĂšs, on a discutĂ© pendant une autre heure. C'Ă©tait merveilleux ! Au mĂȘme moment, au cafĂ© des sports Ă  AubiĂ©re les deux maris discutent - Alors, ta soirĂ©e de hier, bien ? - Ouais gĂ©nial ! Quand je suis arrivĂ©, la bouffe Ă©tait prĂȘte. J'ai mangĂ©, on a baisĂ© et je me suis endormi. Et toi ? - L'enfer ! J'Ă©tais rentrĂ© tĂŽt pour fixer l'Ă©tagĂšre de la cuisine, en dĂ©marrant la perceuse, le courant a sautĂ©, impossible Ă  remettre. Quand elle est rentrĂ©e, la seule solution pour ne pas me faire engueuler, c'Ă©tait de l'emmener au resto. Le dĂźner a coĂ»tĂ© tellement cher que je n'avais plus assez d'argent pour payer le taxi du retour. Il a fallu marcher une heure pour rentrer ! ArrivĂ©s Ă  la maison, forcĂ©ment, toujours pas d'Ă©lectricitĂ©, j'ai dĂ» allumer des putains de bougies pour qu'on y voit quelque chose dans la baraque. Cette histoire m'a foutu tellement en rogne que ça m'a pris une heure pour bander et aprĂšs ça m'a pris une autre heure pour jouir. Finalement, encore Ă©nervĂ© ça m'a pris une heure pour rĂ©ussir Ă  m'endormir et pendant ce temps lĂ , l'autre n'a pas arrĂȘtĂ© de parler... L'histoire se dĂ©roule au Puy en Velay, un petit garçon est trĂšs admiratif de son grand frĂšre. Il ne peut s'empĂȘcher de l'espionner. Un soir, il voit donc son frĂšre se diriger vers sa voiture. Il se dĂ©pĂȘche d'aller se cacher sous la banquette arriĂšre. Le frĂ©rot va chercher sa petite amie et part en rase campagne aux environs de Chadron . Au bout d'un moment, celui-ci s'arrĂȘte et demande Ă  la fille -Tu veux ou tu veux pas ? Elle Je ne veux pas ! -Bon puisque c'est comme ça, tu descends et tu rentres Ă  pied. Et elle rentre Ă  pied. Le mercredi aprĂšs-midi suivant, le petit garçon, trĂšs inspirĂ©, prend son vĂ©lo et va voir sa petite copine. Ils vont, tous les 2 sur le vĂ©lo sur la voie verte, .Et bout d'un moment, a quelques kilomĂštres de Solignac le petit garçon demande - Tu veux ou tu veux pas ? Elle Ben, je veux bien - Bon puisque c'est comme ça, prends le vĂ©lo je rentre Ă  pied ! La scĂšne se dĂ©roule sur le parking Ă  cĂŽtĂ© de la gare de d’Aurillac Un gars sort du bar en titubant. Un vĂ©ritable dĂ©sastre !! Il lui faut 5 bonnes minutes pour retrouver sa voiture, 5 autres pour trouver la clĂ©, non sans ĂȘtre tombĂ© 2 ou 3 fois par terre. Au bout du parking, des Gendarmes regardent la scĂšne, mĂ©-du-sĂ©s..... Il faut encore un bon moment pour que le gars rĂ©ussisse Ă  faire dĂ©marrer le moteur, qui s'Ă©teint tout de suite aprĂšs. Pendant ce temps, ses amis sortent du bar, cognent Ă  sa vitre et lui souhaitent bonne nuit. Ça ne va pas bien pour lui, mais il chante quand mĂȘme, affalĂ© Ă  sa portiĂšre, la fenĂȘtre ouverte !... Finalement, au bout d'une bonne demi-heure, il rĂ©ussit Ă  relancer le moteur, et il commence Ă  rouler. ImmĂ©diatement, les Gendarmes allument leur gyrophare, le bloquent avec leur fourgon, et le mettent immĂ©diatement en Ă©tat d'arrestation. Ils lui demandent alors de souffler dans le ballon, et lĂ , surprise ZE-RO ! Rien de rien... Pas une goutte d'alcool !RIEN !!! Alors ils sortent leur tout nouveau test de dĂ©tection de stupĂ©fiant, et la re-surprise RIEN ... mais alors RIEN DU TOUT !!! "Mais, pourquoi ça vous semblait si difficile de trouver vos clĂ©s, de monter dans la voiture et de dĂ©marrer alors ?" Lui demande les prĂ©posĂ©s de la MarĂ©chaussĂ©e ? ? Ah! ça ?... Et bien , c'est que ... ce soir..., c'Ă©tait Ă  mon tour de faire semblant, le temps que tous les autres puissent rentrer chez eux tranquillement !!!» Trop forts ces Cantalous DrĂŽles de vaches Un citadin part en vacances dans le CĂ©zalier au petit village du Luguet Un jour, sur le plateau il voit un troupeau de vaches, mais il est surpris qu’elles n’aient pas de cornes. ComplĂštement fascinĂ© par cette anomalie, il finit par aller voir le fermier d’à cĂŽtĂ© et lui demande - Dites mon brave, pourquoi ces vaches n’ont pas de cornes ? Le fermier le regarde longuement, puis aprĂšs une grande rĂ©flexion il lui rĂ©pond - Ben en fait, y’a trois raisons qui font que les vaches Ăš z’ont pas d’cornes. - Ah bon ! - Oui ! La premiĂšre, c’est qu’ù naissent sans cornes
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. La deuxiĂšme, c’est qu’ù s’battent et qu’ù s’les cassent
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. Enfin, des fois, y’en Ă  qui choppent une maladie le vĂ©to y dit que c’est la dĂ©calcification et les cornes, Ăš tombent
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. - Mais alors, pourquoi donc ces vaches n’ont pas de cornes, mon brave ? - Ben en fait, si ces vaches Ăš z’ont pĂŽ d’corne, c’est surtout pac’que c’est des chevaux

 Dans un village entre Pinols et le Mont Mouchet, le pĂšre et le fils bĂȘchent lorsque soudain l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'Ă©trange objet et dit - " r'garde donc l'pĂ©re s'que j'viens d'trouver ! " - "Oh putain...une grenade de la derniĂšre guerre et...Ho putain oĂč est la goupille ?" Le pĂšre arrache la grenade des mains du fils, la balance loin...sur les chiottes au fond du jardin et BAOUMMMM... A ce moment, la grand-mĂšre sort du nuage de fumĂ©e en titubant et dit - "CrĂ© vin diou...heureus'ment qu'j'la pas lĂąchĂ© dans la cuisine celui la ! " Aux environs de Noyant dans l’Allier L’Emile est convoquĂ© au centre des impĂŽts de Moulins pour un contrĂŽle fiscal. Raymonde Sa femme lui conseille de porter des vĂȘtements et des chaussures usĂ©es. Laisse-leur penser que tu es pauvre !!! Il appelle ensuite son avocat et lui demande si c'est une bonne idĂ©e -Ne vous laissez pas intimider ! Portez votre plus beau costume. C'est vous le patron !!! Notre homme est bien embarrassĂ© avec tous ces conseils, il ne sait toujours pas comment s'habiller.... En dĂ©sespoir de cause, il va voir un vieux sage asiatique pas loin de son village trĂšs rĂ©putĂ©.... > Il lui expose son cas, les 2 avis contradictoires et lui demande le sien !!! Le sage lui rĂ©pond - Une future mariĂ©e demande Ă  sa mĂšre ce qu'elle doit porter pour sa nuit de noces. Celle ci lui rĂ©pond de mettre une longue chemise de nuit de flanelle fermant jusqu'au cou, et de grosses chaussettes de laine.... La jeune femme pose la mĂȘme question Ă  sa meilleure amie qui lui rĂ©pond - de mettre sa nuisette la plus sexy, transparente qui arrive aux hanches avec un dĂ©colletĂ© jusqu'au nombril..... L'Emile interrompt le sage et lui demande - Mais, quel est le rapport avec les impĂŽts ???? Le sage hoche la tĂȘte et lui dit - Quels que soient les vĂȘtements qu'elle portera, elle se fera baiser.... Et pour vous ce sera la mĂȘme chose !!! L’histoire se passe Ă  Clermont non loin du stade Une vieille dame marche sur le trottoir traĂźnant deux sacs poubelle. Tout Ă  coup, un des sacs se dĂ©chire et laisse sortir des billets de 5 euros
 Remarquant cela, un policier l’arrĂȘte et lui dit – Madame, il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac. – Oh vraiment ? Je dois faire demi-tour et voir si je peux retrouver les autres que j’ai perdus. Merci de me l’avoir signalĂ©, dit la vieille dame. – Un instant, madame pas si vite. D’oĂč vient cet argent ? – Ma cour arriĂšre est prĂšs d’un stade de football et durant les parties, quelques fans viennent pisser Ă  travers la clĂŽture de mon jardin de fleurs. Alors ce que je fais, je me tiens prĂšs de la clĂŽture avec une paire de sĂ©cateurs et Ă  chaque fois qu’un gars sort son pĂ©nis pour pisser, je lui dis que c’est 5 euros ou je la coupe».” Le policier ajoute en riant – C’est bien normal ! Mais avant de continuer son chemin il lui demande – Et dans l’autre sac qu’est ce qu’il y a ? – Vous savez, tout le monde ne paie pas ! Il faut parfois avoir de l’astuce pour faire travailler un fainĂ©ant Au croisement de Ganillon aux environs de Saugues , en plein hiver, un gars dĂ©rape sur une plaque de verglas avec sa voiture et tombe dans le fossĂ©. Heureusement pour lui, le pĂšre Mathieu passe par lĂ  avec son percheron Basile et la carriole. Gentiment, le pĂšre Mathieu propose Ă  l'automobiliste de le sortir de ce traquenard. Il attache la voiture au moyen d'une corde Ă  la carriole et commence Ă  crier - Hue BĂ©bert, Hue! Mais Basile le percheron ne bouge pas. Alors le pĂšre Mathieu crie - Hue Mado, Hue! Mais Basile ne bouge toujours pas. Le pĂšre Mathieu relance - Hue Nestor, Hue! Aucune rĂ©action de Basile. Enfin Mathieu dit - Hue Basile, Hue! Et enfin, tout tranquillement, Basile le percheron tire la voiture hors du fossĂ©. L'automobiliste content s'enquiert auprĂšs du pĂšre Mathieu - Dites-moi un peu, comment cela se fait-il que vous ayez appelĂ© votre cheval trois fois de suite avec un mauvais nom? - Ah, ça, c'est parce que Basile est non seulement aveugle, mais il est aussi fainĂ©ant comme pas possible Si il se pensait ĂȘtre le seul Ă  tirer, il aurait mĂȘme pas essayĂ©! L’histoire se dĂ©roule Ă  Clermont Ferrand c'est une dame qui achĂšte une armoire en kit chez un marchand de mobilier SuĂ©dois nouvellement installĂ© trĂšs connu. Comme son mari se moque souvent de ses qualitĂ©s de bricoleuse, elle dĂ©cide de la monter toute seule. Elle revient chez elle, dĂ©balle le tout, lit la notice multilingue et commence. .. MalgrĂ© les difficultĂ©s, elle se dĂ©brouille assez bien, et le rĂ©sultat est honorable. A ce moment, un tram passe dans la rue, et provoque quelques vibrations qui suffisent Ă  faire s'Ă©crouler le bel Ă©difice. Elle recommence avec davantage d'application mais quand le tram passe Ă  nouveau, tout s'Ă©croule ! MĂȘme rĂ©sultat aprĂšs une troisiĂšme tentative. Elle appelle un voisin qui arrive pour lui donner un coup de main. En deux temps trois mouvements, l'armoire est montĂ©e. Mais le tram passe et une fois de plus, l'armoire s'Ă©croule. La fiertĂ© du voisin en prend un coup ; il dĂ©cide d'entrer dans l'armoire pour voir quelle piĂšce cĂšde quand le tram arrive. A ce moment, le mari rentre - "Tiens tu as achetĂ© une nouvelle armoire ?" Il ouvre la porte, tombe sur le voisin qui lui explique - "Vous ne me croirez pas si je vous dis que j'attend le tram.." !! Toujours plus fort mais l’auvergnat plus malin Cela se passait dans la ville de Volvic il y a quelques annĂ©es peut ĂȘtre restent ils encore quelques vestiges Un tailleur de pierres d’un village avoisinant TournoĂ«l vient d'acheter une boutique dans la rue principale de la ville. Avant de faire son enseigne il dĂ©cide de voir les enseignes des quatre autres tailleurs de la rue. Il remonte la rue. Sur la premiĂšre enseigne tenu par un Clermontois qu'il voit il y a Ă©crit "Le meilleur tailleur de Volvic" Il continue son chemin. Sur la deuxiĂšme enseigne tenus par un Lyonnais il y a Ă©crit "Le meilleur tailleur de la rĂ©gion Auvergne ", Sur la troisiĂšme tenu par un Parisien "Le meilleur tailleur de France ", Sur la quatriĂšme le seul Ă©tranger du village un amĂ©ricain "Le meilleur tailleur du monde". Perplexe il rentre Ă  sa boutique. Enfin, il sort accrocher son enseigne. Dessus il a Ă©crit "le meilleur tailleur de la rue". La blague du Dimanche Comme quoi on ne sait pas toujours ce qui ce passe dans sa commune Un dimanche, le vieux prĂȘtre d'une commune rurale que la dĂ©cence m’interdit de citer qui exerçait depuis une bonne quarantaine d'annĂ©es, concluait son sermon hebdomadaire en tapant du poing sur l'autel. Il lance Ă  ses fidĂšles "J'ai entendu l'expression "pĂ©chĂ© d'adultĂšre" au moins un millier de fois depuis que j'officie dans cette Ă©glise. Je vous le dis tout net, si j'entends encore une seule fois ces mots, je prends ma retraite." Tout le monde l'aimait bien dans le village et on s'accorda donc Ă  ne plus jamais employer les mots interdits. Les habitants dĂ©cidĂšrent Ă  la place d'employer l'expression "j'ai chutĂ©". Cette initiative calma le vieux prĂȘtre qui vĂ©cut l'esprit tranquille pendant encore plusieurs annĂ©es. AprĂšs sa disparition, un jeune curĂ© vint le remplacer dans la paroisse et il nota tout de suite la quantitĂ© alarmante "d'accidents" liĂ©s aux lois de la gravitation dont Ă©taient victimes les habitants du village. Il prit donc la dĂ©cision d'aller trouver le Maire de la commune. Il lui dit "Monsieur le Maire, il vous faut intervenir d'urgence sur l'Ă©tat des trottoirs du village. C'est bien simple, il semble que tout le monde perde l'Ă©quilibre dans cette ville
" Le premier citoyen, comprenant que personne dans la commune ne l'avait informĂ© du vĂ©ritable sens de l'expression "j'ai chutĂ©" Ă©clata de rire. Il se tordait sur son bureau lorsque le jeune curĂ© le rappela Ă  l'ordre "Qu'est ce qui vous fait donc rire Ă  ce point ? A votre place, je ne me rĂ©jouirais pas. Tenez, pour citer un exemple qui vous concerne, votre femme a chutĂ© trois fois la semaine derniĂšre..." Dans un petit village du Cantal un mĂ©decin qui suivait une vieille dame de quatre-vingts ans prend sa retraite. Son nouveau mĂ©decin fraĂźchement venu d’Aurillac lui demande de lui apporter la liste de ses prescriptions Ă  sa prochaine visite. Alors que le jeune mĂ©decin parcourt la liste de ses mĂ©dicaments,il Ă©carquille les yeux en voyant qu'elle avait une prescription pour la pilule contraceptive. - Madame Dubois, est-ce que vous vous rendez compte que c'est LA PILULE ? " - " Bien sĂ»r, rĂ©pondit-elle, ça m'aide Ă  dormir." - Madame Dubois, je vous assure qu'il n'y a RIEN lĂ -dedans pour faire dormir, ce sont des pilules contraceptives. Vous n'en avez plus besoin. - Oui, mon cher, je sais tout cela. Mais, chaque matin j'en Ă©crase une et je la mĂ©lange au jus d'orange de ma petite fille de seize ans. Et croyez-moi, ça m'aide Ă  dormir tranquille. Dans une petite Ă©cole d’un quartier de Clermont-Ferrand La maĂźtresse d'Ă©cole demande Ă  Gaston - Il y a trois oiseaux sur une branche et je prends mon fusil et j'en tire un, combien en reste-t-il ? Gaston dit - il n'y en a plus, les autres sont partis, ils ont eu peur La maĂźtresse dit - Non, non Gaston tu vois 3 oiseaux moins un fait qu'il reste deux oiseaux sur la branche. Mais j'aime bien ta façon de penser. Quelques jours plus tard, cette fois-ci c'est Gaston qui demande Ă  sa maĂźtresse d'Ă©cole - Il y a trois femmes qui marchent sur le trottoir Boulevard Pasteur , chacune ayant un cornet de crĂšme glacĂ©e Ă  la main, une lĂšche son cornet, l'autre suce son cornet et la derniĂšre croque son cornet. Laquelle est mariĂ©e ? La maĂźtresse dit - ce doit ĂȘtre celle qui suce Gaston dit - Non, non c'est celle qui a une bague au doigt. Mais j'aime bien votre façon de penser. L’histoire se dĂ©roule en Haute Loire aux environs de Jussac Un couple de personnes ĂągĂ©es avait fĂȘtĂ© son 60Ăšme anniversaire de mariage. Ils s'Ă©taient connus amis d’enfance et venaient se promener main dans la main dans le village de leur jeunesse; ils voulaient revoir leur ancienne Ă©cole. La grille n'Ă©tait pas fermĂ©e, ils sont entrĂ©s et ont retrouvĂ© le vieux pupitre qu'ils avaient partagĂ©, sur lequel Louis avait gravĂ© J »je t'aime, Claire». En revenant Ă  la maison, sur le bord de route entre Beauzac et Retournac un sac tomba d’un fourgon blindĂ© presque Ă  leurs pieds. Claire le ramassa et l’emporta Ă  la maison. . LĂ  , elle l'ouvrit et compta ....cinquante mille Euros ! Louis dĂ©clara Nous devons le rendre». Claire dit, Qui trouve garde» Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier. Le lendemain, deux policiers de la brigade du Puy vinrent enquĂȘter dans le quartier. Ils frappĂšrent Ă  leur porte. Pardon, auriez-vous trouvĂ© un sac qui est tombĂ© d'un fourgon blindĂ© hier ?» Claire dit Non». Louis Elle ment. Elle l’a cachĂ© dans le grenier». Claire "Ne le croyez pas, il est sĂ©nile ». Les agents se sont tournĂ©s vers Louis et lui ont demandĂ© Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le dĂ©but » Louis Bien ! Claire et moi revenions de l’école, hier............. » Le premier agent se tourna vers son collĂšgue et lui dit Viens on s'en va ....! » Cette histoire aurait pu faire la une de l'Eveil en 2016 C'est dans le petit village d’Auzon en Haute Loire trois joueurs de pĂ©tanque qui cherchent un quatriĂšme suite Ă  l’absence de leur pote qui bosse le dimanche. Il y a Babar, Coco et Jean Claude. Coco, justement, connaĂźt un gars qui serait un bon bouliste. Ce gars s'appelle Jean et il accepte de venir jouer avec les 3 autres en disant - OK pour venir jouer avec vous dimanche prochain Ă  9 heures, mais j'aurai peut-ĂȘtre 10 minutes de retard, alors attendez-moi! Le dimanche arrive et Jean est bien lĂ  Ă  9h00 tapantes. Finalement, Jean les bat tous en jouant exclusivement de la main gauche. En les quittant, Jean leur dit - À dimanche prochain. Mais je serai peut-ĂȘtre 10 minutes en retard, alors attendez-moi! Et le dimanche suivant, Jean est bien Ă  l'heure, et il les bat encore, en jouant cette fois-ci exclusivement de la main droite. ... Et tous les dimanches, Jean arrive Ă  l'heure, et il leur met la pĂątĂ©e quelque soit la main qu'il utilise pour jouer. Alors, au bout de deux mois, Coco n'y tient plus et demande Ă  Jean - Dis donc Jean Tu nous dis tous les dimanches que tu seras peut-ĂȘtre 10 minutes en retard, mais tu es toujours lĂ  Ă  l'heure. En plus de ça, tu nous bats Ă  chaque fois, quelque soit la main avec laquelle tu joues... Tu ne crois pas que tu nous dois quelques explications? Alors Jean rĂ©pond - Oui oui, tu as raison. En fait, c'est parce que je suis superstitieux. Quand je me lĂšve le dimanche matin, je regarde de quel cĂŽtĂ© ma femme est couchĂ©e. Si elle est couchĂ©e sur son cĂŽtĂ© gauche, je joue de la main gauche. Si elle est couchĂ©e sur son cĂŽtĂ© droit, je joue de la main droite. Et du coup Coco lui demande - Et si elle dort sur le dos? - Et ben dans ce cas lĂ , j'arrive 10 minutes en retard ! Deux ouvriers sur le chantier de l’église abbatiale St Austremoine d’Issoire prennent leur pause de midi, un qui suite Ă  ce chantier patrimonial est devenu avide de culture fait Ă  l’autre qui ne pense qu’à manger - Tu connais Victor Hugo ? - Non - T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Le lendemain, toujours le mĂȘme - Tu connais Albert Einstein ? - Non - T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Le surlendemain, ça recommence - Tu connais Blaise Pascal ? - Non - Tu connais VercingĂ©torix ? - Non - T'as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Alors l'autre tout Ă©nervĂ© fait - Et toi, tu connais Georges Duchemin ? - Non ??? - T'as tort, c'est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir ! Un Lyonnais part en vacances Ă  la campagne en Haute Loire au mont Mezeinc Un jour, il voit un troupeau de vaches, mais il est surpris qu’elles n’aient pas de cornes. ComplĂštement fascinĂ© par cette anomalie, il finit par aller voir le fermier d’à cĂŽtĂ© et lui demande – Dites mon brave, pourquoi ces vaches n’ont pas de cornes ? Le fermier le regarde longuement, puis aprĂšs une grande rĂ©flexion il lui rĂ©pond – Ben en fait, y’a trois raisons qui font que les vaches Ăš z’ont pas d’cornes. – Ah bon ! – Oui ! La premiĂšre, c’est qu’ù naissent sans cornes
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. La deuxiĂšme, c’est qu’ù s’battent et qu’ù s’les cassent
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. Enfin, des fois, y’en Ă  qui choppent une maladie le vĂ©to y dit que c’est la dĂ©calcification et les cornes, Ăš tombent
 mais lĂ , c’est pĂŽ l’cas. – Mais alors, pourquoi donc ces vaches n’ont pas de cornes, mon brave ? – Ben en fait, si ces vaches Ăš z’ont pĂŽ d’corne, c’est surtout pac’que c’est des chevaux

 Un cultivateur Auvergnat demeurait au Hameau de Nebouzac non loin de la commune de Pleaux juste Ă  cĂŽtĂ© de la frontiĂšre avec le Limousin et son voisin Ă©tait du Hameau de La Brousse en CorrĂšze. Les deux gars s'Ă©taient toujours bien entendus, jusqu'Ă  ce qu'un Ă©vĂšnement fĂącheux vienne troubler cette harmonie. L’Auvergnat avait une poule qui pondait tous les matins et il allait ramasser l'oeuf frais pour son dĂ©jeuner. Un beau matin, le Cantalou aperçoit sa poule sur le terrain du corrĂ©zien. Elle pond son oeuf et le corrĂ©zien le ramasse. L’Auvergnat sort de sa maison en vitesse et demande au limougeauds de lui rendre l'oeuf. Celui-ci refuse car, dit-il, l'oeuf a Ă©tĂ© pondu sur sa propriĂ©tĂ© et lui appartient donc. Les deux hommes argumentent pendant un bon moment jusqu'Ă  ce que l’Auvergnat propose une solution. " Ecoute... Nous, dans le Cantal, quand on a un litige qu'on ne peut pas rĂ©gler et qu'on n'a pas de juge pour trancher, on utilise la mĂ©thode des couilles dures. " " C'est quoi ça ?!? " demande le corrĂ©zien. " - " C'est bien simple. Je te donne un coup de pied dans les couilles et je calcule combien de temps ça te prend pour te relever. Ensuite, tu me donnes un coup de pied dans les couilles et tu calcules combien de temps ça me prend pour me relever. Celui qui s'est relevĂ© le plus vite a gagnĂ©. ". Le limougeauds accepte. L’Auvergnat s'en va mettre ses bottes de chantier de construction, se prend un Ă©lan en courant et donne un gigantesque coup de pied dans les couilles du corrĂ©zien. Le pauvre gars tombe par terre et hurle de douleur. Il lui faut plus de trente minutes pour se relever. Lorsqu'il a finalement rĂ©ussi Ă  se relever, Il dit " A mon tour maintenant. ". L’Auvergnat rĂ©pond " Non, c'est bon. Tu peux l'garder ton oeuf ! ".Tu as gagnĂ© t’ es plus fort que moi. Chez un marchand de voiture Ă  Clermont , Jacky venu de St Jean des OlliĂšres petit village de campagne contemple un vĂ©hicule exposĂ©. – Elle est belle, hein? fait le vendeur. Une premiĂšre main ! Une occase exceptionnelle, mon bon monsieur, comme neuve ! Et elle tape le 160
 – Ça veut dire quoi, taper le 160 ? – Eh bien, par exemple, vous dĂźnez chez vous tranquillement. Ensuite, avec votre femme, vous montez dans la bagnole, et Ă  onze heures du soir, vous ĂȘtes Ă  Paris. C’est pas beau ça ? – Oh ! CrĂ© nom ! je vas l’acheter. Je reviendrai demain avec l’argent
 Le lendemain, pas de gars de la campagne. Ni le surlendemain, ni les jours suivants. Et voilĂ  que trois semaines plus tard, le vendeur de voiture le rencontre dans la rue. – Et Alors, qu’est-ce qui se passe ? Vous deviez passer prendre la bagnole le lendemain, c’était convenu ! – Be oui
 Mais finalement, j’ai changĂ© d’avis. Parce que, comme m’a dit la Marie Qu’est-ce qu’on irait foutre Ă  onze heures du soir dans une ville oĂč on connaĂźt personne ? Aux environs du Mont Dore Un berger et ses moutons traversent une route rurale. Surgit une Jeep Cherokee flambant neuve, conduite par un jeune homme en chemise Hugo Boss, pantalon YSL, baskets Nike, jouer au casino de La Bourboule. La Jeep s'arrĂȘte, le chauffeur se penche par la fenĂȘtre. - HĂ©! Si je devine le nombre de moutons que vous avez, est-ce que vous m'en donnez un? - OK Le jeune homme gare sa voiture, branche le notebook et le GSM, entre dans un site de la NASA, scrute le terrain Ă  l'aide du GPS, Ă©tablit une base de donnĂ©es, 60 tableaux Excel pleins d'algorithmes et d'exponentielles, plus un rapport de 150 pages imprimĂ© sur sa mini imprimante HIGH-TECH. - Tu as ici 1586 moutons. - Exact! Tu peux avoir ton mouton. Le jeune homme prend le mouton et le met dans le coffre de la Jeep. Le berger s'approche et lui demande... - Si je devine ta profession, est-ce que tu me rends mon mouton ? - OK - Tu es consultant. - Wow. Comment as-tu devinĂ© ? - TrĂšs facile. Tu es venu sans qu'on t'appelle; tu prends un mouton pour me dire ce que je sais dĂ©jĂ  et tu ne comprends rien Ă  ce que je fais puisque tu as pris mon chien! Dans une pharmacie de la rĂ©gion d’Aurillac un jeune apprenti commence Ă  travailler dans la boutique d'un pharmacien. Il apprend par cƓur le nom de tous les mĂ©dicaments. Et il s'Ă©tonne de voir un tiroir sur lequel est notĂ© "illisible". - Cherche pas, lui dit le pharmacien. Ça, c'est ce qu'on donne aux clients quand on n'arrive pas Ă  lire l'ordonnance ! Au cours d'une promenade en montagne au environs de Prat de Bouc, un Parisien se perd dans le brouillard. AprĂšs avoir longuement errĂ©, il aperçoit une cabane et frappe Ă  la porte - Y-a quelqu'un ? - Ouaip ! Qui est lĂ  ? - Je suis un promeneur Ă©garĂ©. Pourriez-vous me dire comment on fait pour redescendre dans la vallĂ©e ? - Aucune idĂ©e ! Je suis un petit garçon, et je ne peux pas vous ouvrir. - Alors demande donc a ton pĂšre... - Je ne peux pas il est sorti quand maman est rentrĂ©e. - Et ben demande Ă  ta mĂšre alors. - Maman est sortie quand grand-pĂšre est rentrĂ©... - P'tain de merde ! Bon demande Ă  ton grand-pĂšre de venir alors... - C'n'est pas possible ! Il est sorti quand mon grand frĂšre est rentrĂ©... - Bon alors appelle ton grand frĂšre. - Ben il est sorti quand je suis rentrĂ©... - CrĂ© nom de Dieu.......Mais bon sang de bon sang, vous n'ĂȘtes jamais en famille chez vous ? - Ben... si, Ă  la maison.... mais ici c'est les Chiottes !!!! C’est l’histoire d’une petite mamie qui, Ă  la campagne cantalienne, est sur son lit gravement malade. Le mĂ©decin de Murat vient la voir et l’ausculte. Le Papi attend dans le sĂ©jour. Le mĂ©decin sort aprĂšs de trĂšs longues minutes et lui dit - Votre femme est dans un Ă©tat comateux ! Le Papi qui n’a pas bien compris, rentre dans la chambre de sa promise. La mamie lui demande - qu’ek ksĂ© ty qui la dit l’docteu Ă  mon sujet ? - Oh chĂ© pas trop
 il a dit k’tes dans un Ă©tat comme ma queue
, rĂ©pond le Papi ! - Non di dju, non di dju ?!? S’exclame la mamie
, bin j’suis pas prĂȘt’ d’me levĂ© alors !!! C'est une dame, trĂšs trĂšs BCBG, qui habite Royat et se rend en Porsche Cayenne chez son mĂ©decin, avenue Gergovie. Elle rentre dans le cabinet du mĂ©decin et s'Ă©crie toute affolĂ©e - Docteur, c'est affreux, j'ai Ă©tĂ© piquĂ©e par une guĂȘpe ! - Allons, Madame, calmez-vous, rĂ©pond le mĂ©decin, ce n'est sans doute pas bien grave. - Mais enfin docteur, vous ne vous rendez pas compte, c'est extrĂȘmement... comment dire... c'est horriblement gĂȘnant, voyez-vous... Si vous me disiez d'abord oĂč vous avez Ă©tĂ© piquĂ©e au juste ? - Ah ça non, n'y comptez pas, c'est hors de question ! - Mais enfin, je suis mĂ©decin, je... - Non, non et non ! C'est bien trop embarrassant... Vous soignez la plupart de mes amies, et si l'une d'elles apprenait une chose pareille, je serais la risĂ©e de tous dans les dĂźners mondains. C'est bien simple, je n'oserais mĂȘme plus sortir de chez moi. - Mais enfin Madame, commence Ă  s'Ă©nerver le toubib, je suis tenu par le secret professionnel, et comment voulez-vous que je vous soigne si j'ignore oĂč cette guĂȘpe vous a piquĂ©e ? - Docteur, vous me jurez que vous n'en parlerez Ă  personne ? - Vous avez ma parole, madame. Alors la dame s'approche de son mĂ©decin et, aprĂšs avoir jetĂ© un rapide coup d'oeil Ă  droite et Ă  gauche pour s'assurer qu'ils sont bien seuls dans la piĂšce, elle lui murmure tout bas Ă  l'oreille - Chez Leader Price ! Voici Quelques recommandations que nous avons rĂ©cupĂ©rĂ© sur un terrain d’entraĂźnement au hasard dans Clermont - Putain les mecs, si j'ai des demis, c'est pas pour que les trois-quarts fassent les choses Ă  moitiĂ© ! - Mon pauvre garçon, t'as les mains grandes comme un paquebot, le ballon il est gros comme une olive, et t'arrive pas Ă  choper un gaillole en touche. - Les gars, attention Ă  celui-lĂ , il rĂ©flĂ©chit avec les bras ! - Les gars si on est plaquĂ©, on essaye de rester debout ! - Aujourd'hui les gars, on va se regarder dans les yeux, et on verra bien si on a des couilles ! - DĂ©dĂ©, je compte sur tes coups de pied gastronomiques ! - On Ă©tait remontĂ© comme des baraques Ă  frites. - Les gars, le rugby, c'est comme une partouze, tant qu'il y a des trous il faut les prendre ! - Eh les gars, on n'est pas venu jusqu'ici dĂ©guisĂ©s en feuilles de chou pour se faire brouter le cul par des lapins ! - Un match de rugby, ça ne se gagne pas avec la tĂȘte, ça se gagne avec les couilles ! - Isole-toi si tu veux, mais jamais seul. - Les mecs aujourd'hui, c'est Verdun, y'a personne qui passe ! - Aujourd'hui, les gars, y pas de joueurs de la B, y a pas de joueurs de la premiĂšre, on est un groupe Ă©lectrogĂšne. - Ceux d'en face c'est des idiots. Dans leur vallĂ©e ils se reproduisent entre eux depuis des gĂ©nĂ©rations, d'ailleurs leur pilier droit il a une oreille au milieu du ... - Bon les gars, en face c'est que des cons, alors au premier regroupement, il faut qu'ils discutent avec les taupes. - Entre les manchots d'en face et vous qui ressemblez Ă  des culs de jattes, y'a plus que Lourdes pour nous sauver ! - Bon, les gars, on est chez nous, alors d'entrĂ©e, je veux qu'on joue chez eux. - Quand tu relances, tu vas pas vers l'exter. Plus tu t'isoles, plus tu es seul. Et Ă  la fin tu es dehors ! - Bon, babar, tu vas me ranger ton bordel et tu vas commencer Ă  plaquer. Parce que tes deux cotons tiges de secondes lignes, ils vont finir par te marcher sur la piche ... - Aujourd'hui on va jouer simple les avants devant, les arriĂšres derriĂšre ! - Sur la premiĂšre mĂȘlĂ©e, Peyo, je veux que ton pilier en face il tute le grillon. - Putain les gros, j'comprends rien touche pour nous sur leur 22 m, vous faites une cocotte de 30 mĂštres et on s'Ă©croule Ă  5 mĂštres. C'est quoi ce bordel ... - Cet aprĂšs-midi vous avez carte bleue ! - Le huit de devant, c'est cinq copains ! - On est au pied du mur, maintenant les gars, il faut le construire ! - D'accord on mĂšne, mais il faut garder les pieds sur la tĂȘte. - Les gars, il va falloir s'y mettre. Sortir les mains des poches parce que si vos couilles explosent, y'en a un paquet qui vont devenir manchots ... - Y a plus de trois quarts que d'avants dans les regroupements. C'est plus du rugby, c'est le BolchoĂŻ en plein air. - Les gars un maul c'est comme une partouze. Si on est mal placĂ© on se fait enculer ! - Bon, les gars, on n'oublie pas la rĂšgle des trois P POUSSER, PLAQUER, COURIR ! - Louper un plaquage, c'est comme enculer un collĂšgue, ça se fait pas ! Bon voisinage Le pĂšre Mathieu envoie un de ses fils chez le pĂšre Antoine, Ă  la ferme voisine du village d’Auzon , pour emprunter une tondeuse. Mais Ă  peine le mĂŽme a-t-il ouvert la bouche en arrivant chez le pĂšre Antoine que celui-ci Ă©clate - Ouais, je sais ce que tu viens chercher ! C'est ma tondeuse. Ben tu pourras y dire Ă  ton vieux que je me la garde pour moi. Parce que moi, quand j'y demande un service, y m'envoie paĂźtre. Et pis tu pourras y dire aussi que mes fesses, c’est pas un garage ! - Que... vos fesses... c'est pas un garage ? RĂ©pĂšte le gamin, interloquĂ©. - Parfaitement. Comme ça, y pourra pas gueuler que ma tondeuse, j'ai qu'Ă  me la foutre au cul. Les femmes n’ont pas toujours le dernier mot Un couple de paysans se rendent Ă  la foire Ă  Costaros et assistent Ă  la remise des prix d'un concours de taureaux. Le prĂ©sentateur annonce TroisiĂšme prix, le taureau GĂ©dĂ©on, trois ans, trois saillies par jour ! La femme, tapant du coude son mari T'entends ? Trois fois par jour !! Tu devrais en prendre de la graine ! Le prĂ©sentateur continue - DeuxiĂšme prix, le taureau GĂ©rard, cinq ans, six saillies par jour ! La femme, excitĂ©e - T'entends ?! T'entends ?!... Le prĂ©sentateur, enfin - Et le premier prix, le taureau Germain, quatre ans et demi, neuf saillies par jour ! La femme, de plus en plus excitĂ©e - T'entends ?! T'entends ?! T'entends ?!... Le mari s'adresse alors au prĂ©sentateur - Les 9 fois par jour, c'est avec la mĂȘme vache ? - Euh... Non. Alors il dit a sa femme - T'entends ?! Un touriste Lyonnais farceur et ventriloque se promĂšne Ă  la campagne aux environs d’Yssingeaux et visite la ferme du pĂšre Baptistou . Il demande au paysan de lui faire visiter. Ensemble, ils vont vers l'Ă©table. Le touriste va vers une vache et se met Ă  lui parler - Bonjour madame la vache, avec qui faites vous l'amour ? - Avec le taureau bien sĂ»r ! Ils passent ensuite devant le poulailler - Bonjour madame la poule, avec qui faites vous crac-crac ? - Avec le coq, bien sĂ»r ! Ils arrivent devant un prĂ© oĂč une chĂšvre est attachĂ©e et, avant mĂȘme que le touriste ne pose une question, le paysan intervient - Ne l'Ă©coutez pas celle-lĂ , elle dit que des conneries ! L’histoire se dĂ©roule dans une banque au Puy en Velay Marcel type un peu cru entre dans une banque et dit Ă  la guichetiĂšre - Je voudrais ouvrir un putain de compte dans ta banque de merde ! - Pardon ? Dit la dame choquĂ©e. - T'es bouchĂ©e ou quoi ? Je voudrais ouvrir un putain de compte dans cette banque de merde ! - Mais enfin, Monsieur, restez correct... - Kess t'as? Tu veux mon poing sur la gueule ou quoi ! - Écoutez, Monsieur, je vais appeler le directeur... - C'est ça, poufiasse, appelle ton connard de directeur... Le directeur arrive - Monsieur, il y a un problĂšme ? - J'en sais rien, je veux ouvrir un putain de compte dans cette banque de merde parce que j'ai gagnĂ© 100 millions au loto... Et le directeur rĂ©pond - Et cette grosse connasse vous emmerde ? Il est fort le gars L’Emile se prĂ©sente chez un menuisier aux environs de Fayet Ronaye pour se faire embaucher. Pour se faire mousser, il prĂ©tend qu'il est capable de reconnaĂźtre n'importe quel bois les yeux bandĂ©s, et mĂȘme de deviner ce Ă  quoi le bois a pu servir. Le patron est sceptique mais est d'accord pour l'engager si il passe le test. On lui bande les yeux et on lui prĂ©sente un morceau de bois. Le type renifle et dit - Ça c'est du chĂȘne massif, il a servi Ă  faire une table vernie. Le patron est sur le cul... Il recommence avec quelque chose de plus compliquĂ©. Il prĂ©sente un paquet de sciure. Encore une fois, le type renifle et dit - Ça c'est un mĂ©lange... c'est de la sciure. Il y a du frĂȘne, qui provient d'une poutre de maison situĂ©e dans le village de Saint Vert, et un autre bois... du pin... qui a servi Ă  faire un poteau Ă©lectrique entre Sarpoil et le Vernet. Tout est exact, le patron n'en revient pas, mais comme il ne veut pas perdre la face, il demande Ă  sa secrĂ©taire de lui passer sa culotte, et la fourre sous le nez du type. - Hmm... Vous avez gagnĂ©, je n'arrive pas Ă  deviner de quel type de bois il s'agit. Mais ce dont je suis sĂ»r, c'est qu'il s'agit de la porte des chiottes au fond du jardin de la maison de la Marie. Marcel va Ă  Clermont avec son pĂšre et traverse un quartier un peu hot de la ville en voiture. - Dis papa, qu'est-ce qu'elles font les dames sur le trottoir ? EmbarrassĂ©, le pĂšre s'en tire par une pirouette - Elles vendent du bonheur. Une fois Ă  la maison, Marcel se dit qu'il en achĂšterait bien un peu de bonheur. Il casse sa tirelire, prend son billet de 20 euros et sort de la maison pour aller voir les dames. Une fois rendu dans la bonne rue, il se dirige vers la premiĂšre dame, lui tend le billet et lui demande un peu de bonheur. La professionnelle est un peu dĂ©contenancĂ©e. Elle Ă©vite depuis longtemps toute infraction Ă  la loi, mais d'autre part, elle ne peut cracher sur 20 euros en ces temps de crise. Elle ramĂšne le petit Marcel chez elle et lui prĂ©pare trois tartines avec une bonne couche de Nutella. Enfin, Marcel rentre chez lui, oĂč ses parents inquiets lui demandent oĂč il Ă©tait passĂ©. Il regarde son pĂšre et lui dit qu'il Ă©tait parti acheter un peu de bonheur auprĂšs des dames qu'il lui avait montrĂ©es de la voiture. HorrifiĂ©, le pĂšre lui demande ce qui s'est passĂ© et Marcel rĂ©pond - Pas de problĂšme avec les deux premiĂšres, mais pour la troisiĂšme je n'en pouvais plus, alors je l'ai seulement lĂ©chĂ©e... L’histoire se passe dans la banlieue du Puy en Velay la semaine derniĂšre. C'est un gars au lit qui Ă©coute Radio FM43 avec sa femme un matin et ils entendent - Nous annonçons 10 cm de neige aujourd'hui alors svp mettre vos voitures du cĂŽtĂ© pair de la rue pour le dĂ©neigement ! La femme se dĂ©pĂȘche et va placer l'auto du cĂŽtĂ© pair. Le lendemain, ils Ă©coutent encore la radio et ça dit - Nous annonçons 15 cm de neige aujourd'hui alors svp mettre vos voitures du cĂŽtĂ© impair de la rue pour le dĂ©neigement ! La femme se dĂ©pĂȘche et va placer l'auto du cĂŽtĂ© impair. Le lendemain, ils Ă©coutent encore la radio et ça dit - Nous annonçons 30 cm de neige aujourd'hui alors svp mettre vos voitures ............... Et une panne d'Ă©lectricitĂ© interrompt la communication. La femme perplexe regarde son mari et lui dit - Qu'est-ce que je vais faire, il n'a pas dit de quel cĂŽtĂ© mettre l'auto ? L'homme la regarde et dit - Pourquoi tu la laisses pas dans le garage ! Un inspecteur de l’acadĂ©mie de Clermont Ferrand se rend Ă  l’école du village de Saint Germain Lembron et dans une classe. Il interroge un Ă©lĂšve - Qui a cassĂ© le vase de Soissons ? L'Ă©lĂšve pĂąlit, hĂ©site, puis bredouille en un sanglot - C'est pas moi ... - Comment ? Vous ne savez pas qui ... - Monsieur, puisqu'il vous dit que ce n'est pas lui, dit le professeur. - Comment ? Comment ? Vous aussi, vous ne savez pas qui ... - Ma foi non, rĂ©pond le professeur, Ă©vasif. L'inspecteur fait alors un rapport au directeur de l'Ă©tablissement. - Voyez l'Ă©tat de l'enseignement, les Ă©lĂšves et les enseignants ne savent pas qui a cassĂ© le vase de Soissons ! Le directeur, ennuyĂ©, se demande - Mais qui donc a cassĂ© ce vase ? Il adresse une requĂȘte au recteur d'acadĂ©mie de Clermont . Ce dernier, recevant la requĂȘte, l'examine entre deux dossiers urgents et s'exclame - Mais quelle histoire pour un vase ! Qu'on le remplace ! Pourtant c’est difficile de faire plus qu’un Auvergnat Un Bougnat garçon de cafĂ© a Ă©tĂ© sacrĂ© champion du monde des presseurs de citrons. Un jour oĂč il en a pressĂ© un jusqu'Ă  la derniĂšre goutte, un client lui dit - Je vous parie 500 euros que je fais mieux que vous. - Pari tenu ! L'homme saisit l'Ă©corce du citron entre le pouce et l'index et, sous les applaudissements de l'assistance, il en tire encore un demi-verre de jus. - Ça alors, fait le Cantalou , Ă©berluĂ©, vous ĂȘtes sans doute un confrĂšre ? - Moi, pas du tout je suis percepteur ! Histoire se dĂ©roule dans le petit village de Saint Vert en Haute Loire , Monsieur le curĂ© fait son petit tour Ă  vĂ©lo dans le village, lorsqu'il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et trĂšs bricoleur, qui ne met jamais les pieds Ă  l'Ă©glise. - Robert, je t'attends demain au confessionnal ! Ca fait bien 20 ans que je ne t'ai pas vu dans la Maison de Dieu, tu dois en avoir des choses Ă  raconter ! Robert, pas enthousiaste du tout Ă  cette idĂ©e accepte malgrĂ© tout l'invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le CurĂ© commence l'interrogatoire - Alors Robert, raconte-moi un peu tes pĂ©chĂ©s. Tu as bien dĂ» en faire des bĂȘtises depuis ta Communion Solennelle... - Ben, heu... oui. J'ai volĂ© un peu de bois Ă  Laval . RĂ©pond Robert honteux. - Un peu de bois, ça veut dire combien ? - Ben, juste assez pour construire un chenil Ă  mon chien. - Hmmm... Ca va encore dans ce cas. Robert continue - Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils... - Ah ! C'est un peu plus sĂ©rieux alors. - Monsieur le curĂ©.. il me restait encore un peu de bois aprĂšs la remise, alors j'en ai profitĂ© pour construire un garage... LĂ , le curĂ© marque une pause, puis il dit - Ca c'est quand mĂȘme beaucoup plus grave. Pour ça, j'ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine. - Monsieur le curĂ©, je ne sais pas trop ce que c'est qu'une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, il me reste encore beaucoup de bois ! ... La petite Marie d’un petit village aux environs de Clermont Ferrand , partie depuis plusieurs annĂ©es gagner sa vie dans la capitale, revient un Ă©tĂ© passer quelques jours de vacances dans la famille. Etant trĂšs pieuse, elle se rend Ă  l’église et demande Ă  monsieur le curĂ© l’occasion de se confesser. Dans le confessionnal, monsieur le curĂ© invite la jeune fille non pas Ă  Ă©numĂ©rer ses pĂ©chĂ©s, mais plutĂŽt Ă  raconter ce qu’elle est devenue depuis qu’elle a quittĂ© le village - Eh bien, je suis une gymnaste professionnelle maintenant et j’officie dans un club tout prĂšs de Paris, et bientĂŽt je pense que je serai sĂ©lectionnĂ©e pour les championnats d’Europe. - Dis donc dis donc ! Si on m’avait dit que la toute petite pitchoune qui n’arrĂȘtait pas de faire des bĂȘtises pendant les heures de catĂ©chisme deviendrait une championne de gymnastique, je ne l’aurais pas cru ! Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Ce serait que tu me fasses une dĂ©monstration de ce que tu sais faire ici, dans l’église... C’est possible ? - Oh oui, bien sĂ»r monsieur le curĂ© ! RĂ©pond la fille. LĂ  dessus, ils sortent tous les deux du confessionnal et la fille se dirige dans l’allĂ©e centrale de l’église oĂč elle se lance dans une sĂ©rie de saltos avant, saltos arriĂšres, roues et sauts carpĂ©s. Deux vieilles qui attendaient leur tour sont aussi les tĂ©moins de ce superbe enchaĂźnement. Avec des yeux ronds comme des billes, la premiĂšre dit Ă  l’autre - Je ne sais pas ce qu’elle avait fait comme bĂȘtises, mais monsieur le curĂ© n’y a pas Ă©tĂ© de main morte avec les pĂ©nitences... Nous connaissions le cochon d’Auzon en voici un autre plus surprenant Dans une ferme aux environs de Saint Just , un pauvre paysan crĂšve la faim avec toute sa famille, mais il possĂšde un trĂ©sor ! Et ce trĂ©sor, c'est son cochon. D'aprĂšs lui, ce cochon est " le cochon le plus intelligent du monde "... Un beau jour, un journaliste du quotidien local La Ruche vient Ă  apprendre qu'un cochon plus intelligent que la moyenne vit dans une ferme du voisinage. Le journaliste prend sa voiture et va se rendre compte lui-mĂȘme sur place. Lorsqu'il arrive dans la ferme, il voit les bĂątiments en ruine, et se demande comment, Ă  notre Ă©poque, On peut encore vivre comme ça... Puis le paysan sort de la baraque. Alors le journaliste lui demande - Bonjour ! Je suis journaliste de presse et j'ai appris que vous possĂ©diez un cochon extraordinaire. Le pauvre paysan lui rĂ©pond - C'est vrai. Puis il siffle un coup entre ses dents, et un cochon qui n'a plus que trois pattes sort de l'Ă©table. - C'est lui, dit le paysan. Le journaliste voit le cochon et demande - Et qu'est-ce qui vous fait dire qu'il est le cochon le plus intelligent du monde ? Le paysan rĂ©pond - L'hiver dernier, j'Ă©tais dehors en train de rĂ©parer des clĂŽtures et ma femme Ă©tait au marchĂ© Ă  Brioude pour vendre du fromage. Notre petit bĂ©bĂ© Ă©tait Ă  l'Ă©tage, dans la maison, en train de dormir dans son berceau... Lorsqu'un incendie a enflammĂ© la maison ma femme avait oubliĂ© son fer Ă  repasser sur le linge. A ce moment-lĂ , le cochon a couru dans la maison, montĂ© l'escalier, attrapĂ© le bĂ©bĂ© en prenant son bras dans sa mĂąchoire, sans lui faire mal, puis il est redescendu et a dĂ©posĂ© le bĂ©bĂ© sur le sol, Ă  l'abri des flammes. Ensuite, il est parti me chercher dans le prĂ© et j'ai pu Ă©teindre l'incendie avant qu'il n'y ait trop de dĂ©gĂąts. - Wow, dit le journaliste, c'est incroyable. - Et ce n'est pas tout ! Un jour que je travaillais la terre dans le champ d'Ă  cĂŽtĂ©, la herse Ă©tait pleine de terre et d'herbe. Alors j'ai mis le tracteur au point mort, je suis descendu et j'ai commencĂ© Ă  nettoyer sous la herse. Mais la vitesse du tracteur s'est enclenchĂ©e toute seule et je me suis trouve renversĂ© par la herse et entraĂźnĂ© par l'attelage. J'ai cru que j'Ă©tais un homme mort... Mais le cochon avait dĂ» sentir qu'il se passait quelque chose il est allĂ© chercher une corde, a rattrapĂ© le tracteur et la herse, m'a laissĂ© un bout de corde, et a tirĂ© de toutes ses forces Ă  l'autre bout. C'est grĂące Ă  lui si je suis encore lĂ  aujourd'hui. - C'est vraiment extraordinaire, lui rĂ©pond le journaliste. Mais, dites-moi, comment se fait-il qu'il n'ait plus que trois pattes ? - Ben, quand on a un cochon aussi bon et intelligent, on ne peut pas le manger tout d'un coup... L’histoire se dĂ©roule courant le mois de Novembre dans la brume non loin du village de Saint Vidal en Haute Loire Un homme en montgolfiĂšre s'est Ă©garĂ© au bout d’une heure de vol. Il perd de l'altitude et aperçoit une femme au sol dans sa ferme. Il descend et lui crie - " Excusez-moi, pourriez-vous m'aider ? J'ai promis Ă  un ami de le rejoindre d'ici une heure et je ne sais pas oĂč je me trouve ". La femme au sol rĂ©pond - " Vous ĂȘtes dans un ballon Ă  environ 10 mĂštres au-dessus du sol. Vous vous trouvez entre 40 et 41 degrĂ©s de latitude Nord et entre 59 et 60 degrĂ©s de longitude Ouest". - " Vous devez ĂȘtre ingĂ©nieur ", dit l'homme. - " C'est vrai ", rĂ©pond la femme, " comment le savez-vous ? " - " Eh bien ", dit l'homme, " tout ce que vous m'avez dit est techniquement correct, mais je n'ai aucune idĂ©e de ce que je dois faire de vos informations, et le fait est que je ne sais toujours pas oĂč je suis. En toute franchise, vous ne m'avez pas beaucoup aidĂ©. Vous avez tout au plus retardĂ© mon voyage ". - " Et vous vous devez ĂȘtre directeur ", rĂ©pond la femme. - " C'est vrai " rĂ©pond l'homme, " mais comment le savez-vous? " - " Eh bien " , dit la femme, " vous ne savez ni oĂč vous ĂȘtes, ni oĂč vous allez. C'est une grande masse d'air qui vous a placĂ© dans votre position actuelle. Vous avez fait une promesse sans avoir aucune idĂ©e de comment vous alliez pouvoir la tenir, et vous attendez que des gens situĂ©s en dessous de vous rĂ©solvent vos problĂšmes. Le fait est que vous ĂȘtes exactement dans la mĂȘme situation qu'avant notre rencontre sauf que maintenant, c'est de ma faute ". A la foire Ă  Costaros un vieux paysan, essaie de vendre sa vache 100 Euros. La vache est une vielle bĂȘte avec la peau sur les os, qu'il vend parce qu'il ne parvient plus Ă  la nourrir. Evidemment, aucun client ne se manifeste. Un homme observe puis s'approche... - Tu n'as rien compris Ă  la vente, laisse-moi faire. Si je te la vends, on fait 50% pour moi et 50% pour toi. RĂ©signĂ©, le paysan accepte. L'homme commence la vente - Voici la toute derniĂšre race de bovin, enfin mise Ă  votre disposition. La foule commence Ă  s'avancer, se masser. - Eh oui, mesdames et messieurs, cette vache est le dernier cri de la gĂ©nĂ©tique africaine. Pour cette curiositĂ©, les enchĂšres commencent Ă  monter 100 Euros, 200, 300, 500 Euros. - Et plus fort, elle a Ă©tĂ© insĂ©minĂ©e artificiellement et elle fera bientĂŽt deux veaux. Et les enchĂšres continuent de montent 550, 600, 1000 Euros. L'homme continue - Avec les veaux, une vache et un taureau, plus de problĂšme de descendance. Et les enchĂšres s'enflamment 1 500 Euros, 2 000 Euros ! Alors Ă  ce moment lĂ , le paysan va voir l'homme et lui dit - Je ne vends plus ma vache! - Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va gagner... - Oui, mais elle vaut si cher que je prĂ©fĂšre la garder ! Cela se passe dans un petit village de la Haute Loire non loin du Puy mais pour des raisons de discrĂ©tion et pour ne pas incommoder les gens de ce village nous tairons le nom de celui-ci. Un dimanche, le vieux prĂȘtre de cette commune rurale qui exerçait depuis une bonne quarantaine d'annĂ©es, concluait son sermon hebdomadaire en tapant du poing sur l'autel. Il lance Ă  ses fidĂšles "J'ai entendu l'expression "pĂ©chĂ© d'adultĂšre" au moins un millier de fois il faut dire que dans ce village les habitants ont le sang chaud depuis que j'officie dans cette Ă©glise. Je vous le dis tout net, si j'entends encore une seule fois ces mots, je prends ma retraite." Tout le monde l'aimait bien dans le village et on s'accorda donc Ă  ne plus jamais employer les mots interdits. Les habitants dĂ©cidĂšrent Ă  la place d'employer l'expression "j'ai chutĂ©". Cette initiative calma le vieux prĂȘtre qui vĂ©cut l'esprit tranquille pendant encore plusieurs annĂ©es. AprĂšs sa disparition, un jeune curĂ© vint le remplacer dans la paroisse et il nota tout de suite la quantitĂ© alarmante "d'accidents" liĂ©s aux lois de la gravitation dont Ă©taient victimes les habitants du village. Il prit donc la dĂ©cision d'aller trouver le Maire de la commune. Il lui dit "Monsieur le Maire, il vous faut intervenir d'urgence sur l'Ă©tat des trottoirs du village. C'est bien simple, il semble que tout le monde perde l'Ă©quilibre dans ce bourg 
" Le premier citoyen, comprenant que personne dans la commune ne l'avait informĂ© du vĂ©ritable sens de l'expression "j'ai chutĂ©" Ă©clata de rire. Il se tordait sur son bureau lorsque le jeune curĂ© le rappela Ă  l'ordre "Qu'est ce qui vous fait donc rire Ă  ce point ? A votre place, je ne me rĂ©jouirais pas. Tenez, pour citer un exemple qui vous concerne, votre femme a chutĂ© trois fois la semaine derniĂšre..." Un journaliste de FR3 Auvergne pour son reportage sur les Ă©levages dans le Cantal , interviewe un berger un peu rustre - Quel est le meilleur souvenir de votre carriĂšre de Berger ? Le paysan, aprĂšs avoir rĂ©flĂ©chi quelques instants - CrĂ©, j'souviens qu'une fois une de mes chĂšvres s'est perdue dans la montagne. AvĂ© tout le village, on l'a cherchĂ©e pendant 4 jours. Et quand on a retrouvĂ©e la bougresse, pour fĂȘter ça, on l'a tous en..lĂ©e ! Le journaliste - Euh, oui... mais je ne peux pas passer ça Ă  l'antenne... et quel est votre deuxiĂšme meilleur souvenir ? Le paysan se gratte la tĂȘte en rĂ©flĂ©chissant et soudain - Ah, ayĂ©, j'me souviens. Une fois, la femme du LĂ©an s'est perdue dans la montagne, tout le village s'est mis Ă  sa recherche, et on l'a retrouvĂ©e qu'au bout de 2 jours. On Ă©tait tellement content que pour fĂȘter ça, on l'a tous en..lĂ©e. Le journaliste, un peu embarrassĂ© - DĂ©cidĂ©mment... non, je ne peux passer çà... Il faut que je trouve autre chose... Il rĂ©flĂ©chit pendant quelques secondes - Et sinon, quel est votre plus mauvais souvenir ? - Ben, une fois, je me suis perdu... C’est l’hiver Germain quitte les rues enneigĂ©es du Mont Dore pour passer quelques jours de vacances sous le soleil de Sardaigne. Sa femme en voyage d'affaires a prĂ©vu de le rejoindre le lendemain de son arrivĂ©e. Quand il arrive Ă  l'hĂŽtel, il dĂ©cide d'envoyer un email Ă  son Ă©pouse. Comme il ne trouve pas le bout de papier sur lequel il avait notĂ© l'adresse email de sa femme, il essaie de s'en souvenir de mĂ©moire. Malheureusement, il fait une erreur dans l'adresse et le message est envoyĂ© Ă  l'adresse d'une femme veuve depuis la veille. Quand celle-ci consulte ses emails, elle lit ce qu'il y a Ă  l'Ă©cran, pousse un cri d'horreur et meurt d'une crise cardiaque. Ses enfants entendant le cri se prĂ©cipitent et lisent le message suivant sur l'Ă©cran "Ma chĂ©rie, je suis enfin arrivĂ© Ă  destination. Ce fut un long voyage. Bien que je ne sois arrivĂ© qu'il y a peu de temps, j'adore dĂ©jĂ  l'endroit. J'ai parlĂ© avec les gens d'ici et ils sont en train de tout prĂ©parer pour ton arrivĂ©e demain. Je suis sĂ»r que tu vas aimer autant que moi! ... Bisous de ton cher mari, Ă  bientĂŽt." P. S. Ici, il fait une chaleur infernale. L’histoire se dĂ©roule Ă  Clermont C'est un automobiliste qui crĂšve en ville rue des Gravouses et de nuit. Il s'arrĂȘte le long d'un long mur et rĂ©pare. Il met les 4 Ă©crous dans l'enjoliveur pour ne pas les Ă©garer mais en marchant il renverse le tout et ne les retrouve plus. Il s'inquiĂšte et dit Ă  haute voix. - Que faire... Que faire ? Sur le mur un gars en pyjama est assis et lui dit - Prenez donc un Ă©crou aux trois autres roues vous remontez la quatriĂšme avec les trois et vous pouvez rouler jusqu'au prochain garage en allant pas trop vite. Le gars s'exĂ©cute et remercie son sauveur en lui demandant si la propriĂ©tĂ© lui appartient - Non, rĂ©pond-il, ici, c'est Sainte Marie - Alors vous faites partie du personnel mĂ©dical ? - Non je suis internĂ©. - Alors vous ĂȘtes un fou ? - Fou oui, mais pas con... Marcel se promĂšne Ă  Issoire quand il aperçoit son vieux copain GĂ©rard , qu'il n'a pas revu depuis des annĂ©es. Il se prĂ©cipite vers lui et l'apostrophe. - Salut GĂ©rard, ça fait une paie ! Qu'est-ce que tu deviens ? - Salut Marcel. Ben entre autres, je suis mariĂ© depuis deux ans. - SacrĂ© GĂ©rard! Et qu'est-ce que tu fait comme boulot ? - Je bossais dans une boite d'informatique Ă  Clermont , mais je me suis fait virer la semaine derniĂšre. - Aie, sale coup. Et ça va, tu tiens le choc. - Ouais, je dors comme un bĂ©bĂ©. - Ah, bon... tant mieux ! Faut que j'y aille, lĂ , mais on se revoit bientĂŽt, hein. - Sans doute. Deux mois aprĂšs, Marcel recroise GĂ©rard dans un cafĂ© Ă  Brassac et lui offre un verre. - Alors, toujours sans job. - Ouais, toujours. - Au moins, ça te laisse du temps Ă  passer avec ta femme. - Elle m'a plaquĂ© avant-hier. - Ouille, vraiment dĂ©solĂ©, vieux. - Pas de quoi. - Tu sais, si je peux faire quoi que ce soit pour toi. - Non, je t'assure, Marcel, je dors toujours comme un bĂ©bĂ©. - Si tu le dis... Les deux amis se quittent et, un mois plus tard, Marcel invite GĂ©rard Ă  manger chez lui. Au cours du repas, Marcel s'enquiert de la situation de GĂ©rard. - Toujours sans travail ? - Tu sais ce que c'est, mĂȘme les jeunes ne trouvent plus de boulot, aujourd'hui. - Et tu as des nouvelles de ta femme. - Elle vient de demander le divorce pour pouvoir se remarier avec mon ex-patron. - Ah ! Marcel, trĂšs gĂȘnĂ©, essaie de changer de sujet Et tes parents vont bien. - Ils sont morts dans un accident d'avion il y a cinq jours. - C’n’est pas vrai ! Toutes mes condolĂ©ances, mon vieux. Si je peux t'aider Ă  supporter... - Pas la peine, je te dis que je dors comme un bĂ©bĂ©. - Mais enfin ! Je ne te comprends pas. Il ne t'est arrivĂ© que des trucs affreux en moins de quatre mois et tout ce que tu trouves Ă  dire c'est "Je dors comme un bĂ©bĂ©". Mais comment tu fais ? - C'est simple je dors une heure, je pleure une heure, je dors une heure... Elle Ă©tait un peu longue l'ĂšspĂšre que vous ne l'avez pas lu pendant les heures de travail je ne voudrais pas avoir d'ennui avec votre employeur. Mamie vient d'arriver Ă  la maison de retraite de Murat Cantal et tout le monde est aux petits soins. Les infirmiĂšres la baignent, lui servent un dĂ©licieux repas et l'assoient sur un fauteuil face Ă  la fenĂȘtre donnant sur un magnifique jardin. Tout semble parfait mais aprĂšs un moment elle commence Ă  se pencher lentement sur la droite ! ImmĂ©diatement deux infirmiĂšres se prĂ©cipitent et la remettent bien droit sur le fauteuil. Tout semble retourner Ă  la normale, quand elle recommence Ă  se pencher lentement sur la gauche ! Les infirmiĂšres accourent et une fois de plus essaient de la remettre d'aplomb. Plus tard la famille arrive pour voir comment va mamie. - tout se passe bien ici, ils sont gentils avec toi ? - c'est pas mal du tout, Ă  part qu'ils ne me laissent pas pĂ©ter ! Dans le petit hameau lieu dit La levrette » non loin de HĂ©risson dans l’Allier l’Adrien qui n’arrive pas Ă  dormir se promĂšne et passe sous la fenĂȘtre d’une maison et entend cette conversation - Allez... S'il te plaĂźt chĂ©ri, dit la femme ? - Non. Laisse-moi tranquille, dit le mari. - Allez, ça ne te prendra pas trop de temps. - AprĂšs je ne saurai pas me rendormir. - Mais sans ça, je ne pourrai pas dormir. - Je voudrais bien savoir pourquoi tu penses Ă  des trucs pareils au beau milieu de la nuit?! - Parce que je suis brĂ»lante! - Toi, tu es chaude au pire moment, vraiment. - Si tu m'aimais, je ne devrais pas avoir Ă  insister comme maintenant pour que tu le fasses - Si tu m'aimais MOI, tu aurais plus de considĂ©ration pour moi. - Alors tu ne m'aimes plus. - Mais si je t'aime, mais laisse tomber ça pour cette nuit, OK. - sanglots - Aaarrghh-soupirs D'accord, je vais le faire, tu as gagnĂ©. - Qu'est-ce qui se passe chĂ©ri? Tu as besoin d'Ă©clairage? - Je ne trouve pas... - Ben vas-y Ă  tĂątons, tu vas quand mĂȘme bien y arriver. - Ça y est, voila. J'y suis. Alors, heureuse? - Ahhhh, enfin, OUI, comme ça fait du bien! - Bon, la prochaine fois que tu voudras dormir la fenĂȘtre ouverte, t'iras l'ouvrir toi-mĂȘme! L’histoire se dĂ©roule dans la ville de Brioude C'est un petit garçon qui rentre de l'Ă©cole en pleurant. - Qu'as-tu, lui demande sa jolie blonde de maman - J'ai eu un zĂ©ro en gĂ©ographie. - Pourquoi ? - Je ne savais pas oĂč est le Portugal. - Tu ne sais pas ?! Quel idiot, passe-moi la carte de France. Et la mĂšre cherche, cherche ... - Bon dieu, elle n'est pas assez prĂ©cise, passe-moi la carte de l’Auvergne . Et la mĂšre cherche, cherche ... - Elle est nulle cette carte, passe-moi la carte de la Haute Loire ! Et la mĂšre cherche, cherche... - Bon sang, ça ne peut pas ĂȘtre si loin le Portugal, la femme de mĂ©nage est portugaise, elle vient travailler tous les jours Ă  vĂ©lo !!! Un petit garçon paysan aux environs de bourg Lastic et son pĂšre descendent Ă  Clermont visitent un centre commercial. Ils sont abasourdis par presque tout ce qu'ils voient, et plus particuliĂšrement par deux murs brillants de couleur argent qui peuvent s'ouvrir en deux et se refermer. Le petit garçon demande - C'est quoi, PĂšre? Le pĂšre n'ayant jamais vu d'ascenseur auparavant, rĂ©pond - Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est. Alors que le petit garçon et son pĂšre regardent avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avance jusqu'aux murs et appuie sur un bouton. Les murs s'ouvrent et la dame roule dans la petite salle. Les murs se ferment et le petit garçon et son pĂšre regardent les chiffres dĂ©filer sĂ©quentiellement sur un cadran au-dessus des portes. Ils continuent de regarder jusqu'Ă  ce que les chiffres se mettent Ă  dĂ©filer dans l'ordre inverse. Les murs s'ouvrent Ă  nouveau et une trĂšs belle jeune femme de 24 ans sort. Alors, le pĂšre murmure Ă  son fils "Va vite chercher ta mĂšre ! ". Sur la route entre Champagnac et Auzon l’Emile occupe toute la largeur de la route avec son tracteur. DerriĂšre, ça Ă©nerve un jeune type qui le suit dans une superbe voiture de sport et qui, l'occasion se prĂ©sentant, met les gaz et double le tracteur en trombe en hurlant au paysan, en montrant son capot - Il y a 200 chevaux lĂ -dessous. Il va si vite qu'il loupe un virage un peu serrĂ© et tombe dans un Ă©tang. Quelques minutes plus tard, l’Emile arrive Ă  sa hauteur - Alors, on fait boire ses bĂȘtes ? Un reprĂ©sentant en aspirateurs dĂ©barque chez une vielle dame qui habite une maison isolĂ©e au bout du village de Leyvaux dans le Cantal. Sans lui laisser placer un mot, il lui dit - Madame, je vais vous faire une dĂ©monstration de la merveille des merveilles, le nouvel aspirateur CYCLONE», l'aspirateur qui aspire tout en quelques secondes ! OĂč est votre poubelle ? Dans votre cuisine ? Je m'en doutais ! Permettez-moi de la prendre ! Il prend la poubelle et la vide sur la moquette au milieu du salon. - Ne vous inquiĂ©tez pas ! Car Ă  prĂ©sent, avec l'aspirateur CYCLONE» je vais faire disparaĂźtre totalement toutes ces ordures ! Je m'engage personnellement Ă  manger devant vous tout ce qui resterait sur le sol ! - Attendez monsieur ! L'interrompt la vielle dame. Je vais vous chercher du sel et du poivre, voyez-vous, je n'ai pas l'Ă©lectricitĂ©... Cela se passe dans la petite Ă©cole de CĂ©zens dans le Cantal En classe Baptiste lĂšve le doigt, le prof qui croyait qu'il allait lui donner une rĂ©ponse lui donne la parole. - Monsieur, la braguette de votre pantalon est ouverte! Le professeur trĂšs gĂȘnĂ© la referme et dĂ©cide d'interpeller l'Ă©lĂšve Ă  la sortie. - Écoute mon Baptiste, la prochaine fois que tu verras ma braguette ouverte ne me le dis pas devant toute la classe. - Alors je ferai comment? AprĂšs une petite rĂ©flexion le professeur lui rĂ©pond - Au lieu de me dire la braguette est ouverte dis moi que l'administration est ouverte, ok? - D'accord M'sieur Le lendemain Baptiste lĂšve le doigt alors que le professeur n'avait pas posĂ© de question. Le prof a compris de quoi il s'agissait... - Qu'est ce qui se passe mon fils, l'administration est ouverte? - Non M'sieur, le proviseur est dehors! Dans une petite ferme aux environs de SugĂšres dans le Puy de DĂŽme un soir au dĂźner, la petite derniĂšre demande Ă  son pĂšre - Papa, pourquoi t'es toujours tout rouge ? - Ben tu vois ma fille, c'est l'Ă©tĂ©, et en mobylette, tu prends des coups de soleil et ça te donne la peau toute rouge. La fillette opine du chef mais ne paraĂźt pas totalement convaincue. - Mais papa, en hiver aussi t'es tout rouge... - Oui ma fille mais en hiver il fait froid. Sur la mobylette, le froid et la vitesse ça te fait la peau toute rouge. Alors la mĂšre, excĂ©dĂ©e, saisit la bouteille de rouge et la tend Ă  sa fille - Tiens, passe la mobylette Ă  ton pĂšre ! Pour une fois les femmes vont aimer C’est le Raymond qui rentre de chez Michelin pour trouver le chaos qui rĂšgne Ă  la maison. Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin. Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas congelĂ©s et des boĂźtes de jus par terre. Quand il entre dans la maison, c'est encore pire La vaisselle sale est Ă©parpillĂ©e dans toute la cuisine, le repas du chien est renversĂ© sur le sol, la vitre est brisĂ©e et traĂźne par terre sur une grande surface et il y a du sable par terre, sur la table de la cuisine et les meubles. Dans la salle de sĂ©jour, il trouve des jouets, des vĂȘtements et une lampe renversĂ©e. A ce moment, l'homme a trĂšs peur qu'un malheur ait touchĂ© sa femme. Il se prĂ©cipite au second Ă©tage et lĂ , stupĂ©fait, il trouve la Marie encore en pyjama assise dans le lit en train de lire un livre. Elle se retourne en souriant et lui demande - Comment Ă©tait ta journĂ©e ? - Que ! S’est-t-il passĂ© ici aujourd'hui? Souriante... - Tu sais, chaque jour en rentrant, tu me demandes ce que j'ai fait durant la journĂ©e et quand je rĂ©ponds que je me suis occupĂ©e de la maison et des enfants... Tu me dis - C'est tout ? -Eh bien, aujourd'hui, je n'ai rien fait! C'est un garçon bon Cantalous qui monte dans un train. Dans le compartiment se trouvent deux hommes cravatĂ©s tapant sur leur ordinateur. Le garçon s'installe prĂšs de ces deux hommes et commence Ă  manger un sandwich. Au bout de quelques dizaines de minutes, le jeune homme d’Aurillac demande Ă  l'un des deux - Puis-je savoir oĂč vous allez ? - Et bien moi, je vais Ă  PARISS, rĂ©pond, d'un air moqueur, l'homme cravatĂ©, Le jeune Auvergnat a mal compris et rĂ©pĂšte PARISSSS ? - Et le cravatĂ© rĂ©torque OUI, PARIS avec deux S !!! Le jeune homme se demande pourquoi Paris avec deux S mais n'en rajoute pas et continue Ă  dĂ©guster son sandwich. Plus tard, il s'adresse Ă  l'autre homme cravatĂ© et lui demande - Et vous, oĂč allez-vous ? - Et bien moi, rĂ©pond le deuxiĂšme homme cravatĂ©, Ă©galement d'un air moqueur, je vais au Bourgett avec deux T!!! Le petit gars du Cantal ne rĂ©pond pas et s'interroge sur ces deux hommes. Tout Ă  coup l'un des deux hommes cravatĂ©s se tournent vers notre Cantalous et lui demande - Et toi, oĂč vas-tu ? - Et bien moi, je vais Ă  MĂącon avec deux CONS. Quand on peut pas on peut pas Jules du village d’Apchat , 75 ans, va voir son mĂ©decin Ă  Ardes pour une analyse de sperme. Son mĂ©decin lui donne un petit flacon et lui dit de revenir le lendemain pour l'analyse. Le lendemain, l'homme lui remet le flacon vide et propre. Le mĂ©decin lui demande pourquoi. - Eh! Bien voila, docteur. J'ai essayĂ© avec la main droite, sans succĂšs. Avec la main gauche, rien non plus. Alors, j'ai demandĂ© Ă  ma femme de m'aider. Elle a essayĂ© avec la main droite puis la gauche. Toujours rien. Ensuite, elle a essayĂ© avec la bouche, avec ses dents, sans les dents. Toujours sans succĂšs. Alors, on a demandĂ© Ă  la jeune de l’ADMR qui a essayĂ© avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, ses dents... Le mĂ©decin, choquĂ©, l'interrompt - Vous avez mĂȘme demandĂ© l'aide de la jeune employĂ©e ?... - Eh! Oui, docteur. Vous voyez, on a tout essayĂ© et on n'a toujours pas pu ouvrir ce putain de flacon ça se passe au village Pebrac non loin de Langeac Jules rentre le soir chez lui, et sa femme Germaine lui saute au cou en lui disant - ChĂ©ri, j'ai une grande nouvelle ! Je suis en retard d'un mois... Je crois que nous allons avoir un bĂ©bĂ© ! J'ai fait le test chez le mĂ©decin aujourd'hui, mais tant qu'on aura pas de certitude, on n'en parle a personne. Le jour suivant, un contrĂŽleur EDF sonne chez elle car ils n'ont pas payĂ© leur derniĂšre facture d'Ă©lectricitĂ©. Vous ĂȘtes bien Madame Durand ? Madame, vous avez un mois de retard ! - Comment le savez-vous ? Balbutia Germaine. - Mais Madame, c'est inscrit sur nos registres. - Qu'est-ce que vous dites ? C'est inscrit sur vos registres ? Le soir, elle raconte cela a son mari qui est fou de rage, il ne comprend pas et se prĂ©cipite des le lendemain au Puy aux bureaux de l'EDF. Il cherche pensant que EDF c'est l'Ecole Des Femmes probablement puis il finit par trouver le bĂątiment avec les 3 lettres Ă©crites en bleus sur la façade et il entre au bureau - Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? hurle-t-il. Vous inscrivez dans vos registres que ma femme a un mois de retard ? De quoi vous mĂȘlez-vous ? - Ecoutez, dit le contrĂŽleur, calmez-vous. Ce n'est pas bien grave. Vous n'avez qu'a l'acquitter et on n'en parle plus... - La quitter ? Il n'en est pas question ! Je ne la quitterai jamais, ni maintenant ni plus tard ! - Dans ce cas, je vous prĂ©viens, si vous refusez de l'acquitter, on va vous la couper ! - Et Comment elle va faire - Elle prendra une bougie La mule de La Chapelle C'est jour de deuil dans la ferme du village de La Chapelle sur Allagnon non loin de Neussargues dans le Cantal la mule du fermier vient de tuer la belle-mĂšre du dit fermier en lui balançant une bonne ruade au moment oĂč elle passait. Tous les fermiers des environs font le dĂ©placement jusqu'Ă  l'Ă©glise. Le curĂ© voyant la foule au dehors s'adresse Ă  quelqu'un de la famille de la dĂ©funte "Elle devait ĂȘtre trĂšs apprĂ©ciĂ©e! Quand on voit le nombre de fermiers qui a quittĂ© les champs pour assister aux funĂ©railles..." Et le gars de la famille rĂ©pond "Ils ne sont pas ici pour les funĂ©railles... Ils sont tous venus pour acheter la mule." Et c'est pas faux C’est au sommet de l’élevage au Zenith Ă  Cournon d’Auvergne Une Clermontoise se trouve vers le stand des vaches laitiĂšres. Elle rencontre Firmin, un ancien fermier venu du Cantal qui a voulu avant de prendre sa retraite faire au moins une fois le salon pour voir comment c’était, avec qui elle discute - Il paraĂźt que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette terrible maladie. - Oi ma petite dame ! Vous n'ĂȘtes pas sans savoir que l'on prĂ©sente une fois dans l'annĂ©e le taureau aux vaches... Eh ben imagine un peu qu'on vous tripote les pis deux fois par jour et qu'on vous honore qu'une fois par an... Vous deviendriez pas folle, vous ? Pas facile le Paysan Auvergnat En arrivant le matin a la ferme , un employĂ© agricole lance Ă  son collĂšgue – J’ai Ă©tĂ© patient, j’ai attendu, maintenant ça suffit ! J’ai rendez-vous Ă  dix heures chez le patron, et lĂ  je vais lui dire ou vous m’augmentez sĂ©rieusement, ou je m’en vais ! – Tu vas vraiment le lui dire comme ça ? – Et comment ! Et Ă  dix heures moins deux, il se lĂšve. Dix minutes plus tard, il est de retour. – Alors ? demande son collĂšgue, tu as obtenu ce que tu voulais ? – Ce n’est pas aussi simple que ça. Quand il y a deux points de vue opposĂ©s, il faut savoir nĂ©gocier. Alors nous avons discutĂ©, et finalement on a coupĂ© la poire en deux lui ne m’augmente pas, et moi je reste. La sagesse Cantalienne Jules quitte Allanche pour aller Ă  Paris rendre visite Ă  son fils qui aprĂšs de brillantes Ă©tudes est chercheur au CNRS. – Alors mon gamin, quoi que tu fais ? – Eh bien, papa, je suis responsable d’un laboratoire, et avec mon Ă©quipe nous travaillons sur la mise au point d’un solvant universel. Si tu prĂ©fĂšre, un solvant capable de dissoudre n’importe quelle matiĂšre. – Oh lĂ  lĂ  ! Ce que c’est d’avoir fait des Ă©tudes ! C’est beau d’ĂȘtre savant ! Il rĂ©flĂ©chit un instant et ajoute – Mais dis-moi, mon gars, votre solvant qui dissout tout, dans quel genre de bidon vous comptez le mettre ? Dans un village vers le Mont Mouchet , le pĂšre et le fils bĂȘchent lorsque soudain l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'Ă©trange objet et dit - " r'garde donc l'pĂ©re s'que j'viens d'trouver ! " - "Oh putain...une grenade de la derniĂšre guerre et...Ho putain oĂč est la goupille ?" Le pĂšre arrache la grenade des mains du fils, la balance loin...sur les chiottes au fond du jardin et BAOUMMMM... A ce moment, la grand-mĂšre sort du nuage de fumĂ©e en titubant et dit - "CrĂ© vin diou...heureus'ment qu'j'la pas lĂąchĂ© dans la cuisine celui la ! " FutĂ© le petit gars du Mezeinc C'est un technocrate europĂ©en qui a dĂ©cidĂ© que dorĂ©navant, tous les oeufs de poule devraient ĂȘtre datĂ©s du jour de ponte. Naturellement, on fait procĂ©der Ă  des inspections surprises... Dans une petite fermette du fin fond de la Haute loire, un inspecteur de la ramĂšne sa fraise. - Bonjour madame. Je suis inspecteur de la rĂ©pression des fraudes. Je suis venu constater si vous procĂ©diez bien au marquage du jour de ponte sur tous les oeufs que vous vendez. - Ah ben ça oui mon gars. Bien sĂ»r qu'y sont datĂ©s mes oeufs. Tiens, regarde... Alors l'inspecteur regarde les oeufs, et constate que sur chaque oeuf est inscrit "Aujourd'hui... Aujourd'hui... Aujourd'hui..." Un autobus part d’Aurillac et emmĂšne des politiciens Ă  un congrĂšs. L'autobus quitte la route et s'Ă©crase contre un arbre dans le prĂ© d'un vieil agriculteur. Le vieil agriculteur, aprĂšs avoir vu ce qui s'est passĂ©, se rend sur les lieux de l'accident. Il creuse alors un trou et enterre les politiciens. Quelques jours aprĂšs, la gendarmerie locale passe sur la route, voit l'autobus Ă©crasĂ©, et demande Ă  l’agriculteur. -Alors Marcel ou sont les occupants? Marcel de rĂ©pondre -Vin diou je les ai enterrĂ©s Le gendarme demande alors au vieil agriculteur, "Etaient ils TOUS morts?" Et Marcel rĂ©pond "Ben, certains parmi eux disaient qu'ils n'Ă©taient pas morts, mais vous savez comment mentent les politiciens." Nous sommes Ă  Langeac au Super U Marc fait la queue Ă  la caisse au supermarchĂ© quand il remarque qu'une petite blonde canon lui fait un petit signe de la main et lui sourit. Il s'adresse Ă  elle gentiment > - Excusez- moi, on se connaĂźt ? Elle rĂ©pond en souriant > - Je peux me tromper, mais je pense que vous ĂȘtes le pĂšre d'un de mes enfants ! Les souvenirs du type le renvoient vers la seule et unique fois ou il est descendu de sa ferme des environs de Saugues et oĂč il a Ă©tĂ© infidĂšle et il demande - Miladiou , tu ne serais pas la petite cochonne que j'ai sautĂ©e sur la table devant tous mes potes lors d'une beuverie, pendant que ta copine me fouettait avec un cĂ©leri mouillĂ© et me poussait un concombre dans le trou de balle ? - Euh non ., rĂ©pond-elle en rougissant jusqu'aux oreilles, je suis la nouvelle institutrice de votre fils !!! Comme quoi qu'il n'y a pas qu'en ville qui s'en passent des bonnes et il faut bien tourner 2 fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Coincidence mĂȘme en Auvergne il y en a Un Ă©leveur auvergnat de poulet entre dans le bar de son village... Il s'assied Ă  cĂŽtĂ© d'une femme une parisienne et commande un verre de champagne. La femme dit - Comme c'est bizarre ? Je viens de commander un verre de champagne aussi ! - Quelle coĂŻncidence, dit le fermier, c'est un jour spĂ©cial pour moi... je le cĂ©lĂšbre. - C'est un jour spĂ©cial pour moi aussi, je le cĂ©lĂšbre aussi ! dit la femme. - Quelle coĂŻncidence ! dit le fermier. Comme ils trinquent l'homme demande - Que cĂ©lĂ©brez-vous donc ? - Mon mari et moi avons essayĂ© d'avoir un enfant depuis des annĂ©es, et aujourd'hui mon gynĂ©cologue m'a annoncĂ© que j'Ă©tais enceinte ! - Quelle coĂŻncidence, dit l'homme, je suis un Ă©leveur de poulets et pendant des annĂ©es toutes mes poules ont Ă©tĂ© infertiles, mais aujourd'hui, elles se sont toutes mises Ă  pondre des oeufs fĂ©condĂ©s. - C'est gĂ©nial ! dit la femme, Comment avez vous fait pour que vos poulets deviennent fertiles ? - J'ai utilisĂ© un autre coq, rĂ©pond-il. La femme sourit et dit - Quelle coĂŻncidence... - Auvergnat prĂ©voyant Deux copains "AUVERGNATS" discutent dans l'escalier "J'en ai marre, ça fait la deuxiĂšme fois qu'on me vide ma cuve Ă  mazout pourtant la bouche de remplissage est bien cachĂ©e sous une vasque de fleurs ! " "Moi j'ai rĂ©solu le problĂšme, j'ai achetĂ© un gros bouchon rouge avec MAZOUT marquĂ© dessus en blanc" "T'es fou ? ils n'ont mĂȘme plus Ă  chercher ? ! ! !" "Ben ouais, mais le tuyau n'est pas reliĂ© Ă  ma cuve Ă  mazout ... Il est raccordĂ© Ă  ma fosse septique ça fait trois fois que les roms me la vide GRATOS en six mois ! ! ! - Quelques fois les auvergnats n’ont pas le dernier mot Un Parisien, voulant se marier avec la fille d'un Auvergnat, va Ă  La Bourboule pour demander sa main au pĂšre. Celui-ci, aprĂšs le repas, lui explique - Ici, en Auvergne, nous devons suivre le chemin des traditions avant d'accorder la main d'une fille. Prends cette pomme et reviens demain. Surpris, le jeune homme part avec la pomme. Le lendemain, il revient et le pĂšre lui demande - Qu'as-tu fait de la pomme ? - J'avais faim ce matin, alors je l'ai mangĂ©e. - Ce n'est pas bien ce que tu as fait ! Nous, les Auvergnats, nous aurions fait de la liqueur avec la peau. Nous aurions coupĂ© la pomme en deux, une moitiĂ© pour les pauvres et, l'autre moitiĂ©, nous l'aurions partagĂ©e en famille, puis nous aurions vendu la moitiĂ© des pĂ©pins et plantĂ© l'autre moitiĂ©. Tu vois comment nous sommes, nous les Auvergnats. Enfin, je vais te donner une seconde chance, prends ce saucisson et reviens demain. VexĂ©, le Parisien part avec le saucisson et revient le lendemain. - TrĂšs Bien, qu'as-tu fait du saucisson ? - Avec la corde, j'ai fait des lacets pour mes chaussures; puis j'ai coupĂ© le saucisson en deux, j'en ai donnĂ© la moitiĂ© aux pauvres et l'autre moitiĂ© je l'ai partagĂ©e en rondelles pour ma famille. - TrĂšs bien, trĂšs bien dit le pĂšre. Et qu'as-tu fait de la peau ? - Avec la peau, je me suis fait un prĂ©servatif, j'ai sautĂ© votre fille et je vous apporte la crĂšme pour vous faire un cappuccino ! - Le prix d’une saillie Un fermier Auvergnat, dans son C15, s’en va chez un de ses voisins et frappe Ă  la porte. Un garçon d’environ 9 ans ouvre la porte. - Est-ce que ton pĂšre est lĂ  ? - Non Monsieur il est parti Ă  saint Flour. - Est-ce que ta mĂšre est lĂ  ? - Non Monsieur elle est avec mon pĂšre Ă  la ville. - Et ton frĂšre lui, est-il ici ? - Non Monsieur, il est allĂ© au bois du Fayard avec le tracteur. Le fermier reste plantĂ© lĂ  pendant quelques minutes maugrĂ©ant entre ses dents. - Si c’est pour emprunter quelque chose Monsieur, je sais oĂč sont les outils ou je peux transmettre un message si ça peut vous aider. - Bon , dit le fermier, j’aurais vraiment voulu parler Ă  ton pĂšre Ă  propos du fait que ton grand frĂšre a mis ma fille Suzie enceinte. Le garçon rĂ©flĂ©chit un moment et dit - Alors lĂ , pour sĂ»r qu’il va falloir parler de ça avec mon pĂšre. Je sais qu’il prend 40 euros pour le taureau et 20 euros pour le bouc, mais pour mon frĂšre, je ne sais pas le prix. - A la pĂȘche La saison de pĂȘche n’est pas encore ouverte et un enragĂ© du bassin de Brassac du nom de Corbeau vert» est en train de taquiner la truite malgrĂ© tout. Soudain, un promeneur s’approche. Le marcheur engage la conversation Alors, ça mord ? » - Si ça mord ? rĂ©pond le pĂ©cheur en rigolant. Ici, c’est un coin INCROYABLE! On dirait que les truites viennent ici exprĂšs pour se faire attraper. Hier, ici mĂȘme, j’en ai pris dix en moins d’une heure !!! - Vraiment ? Tiens, j’ai une question pour vous, demande le promeneur, est-ce que vous savez qui je suis ? - Euh, non. Avoue le pĂȘcheur. - Eh bien, je suis le nouveau garde-pĂȘche ! - Oh ! fait le pĂȘcheur en ravalant sa salive. Hem, et moi, est-ce que vous savez qui je suis ? - Non. - Je suis le plus gros menteur de la rĂ©gion
 *********************************************************************************************************************** Un Auvergnat bien de chez nous C'Ă©tait il y a quelques annĂ©es en Auvergne dans la rĂ©gion de Clermont-Ferrand plus prĂ©cisĂ©ment Puy Guillaume. Le petit Michel achĂšte un Ăąne Ă  un vieux fermier pour 1000 Francs.. Le fermier doit livrer l'Ăąne le lendemain mais justement, le lendemain... DĂ©solĂ© Monsieur Michel , mais j'ai une mauvaise nouvelle l'Ăąne est mort. Bien alors, rendez-moi mon argent. Je ne peux pas faire ça. Je l'ai dĂ©jĂ  tout dĂ©pensĂ©... OK alors, vous n'avez qu'Ă  m'apporter l'Ăąne
Qu'est-ce que vous allez faire avec ? Je vais le faire gagner par un tirage au sort Ă  une tombola. Vous ne pouvez pas faire tirer un Ăąne mort ! Certainement que je peux. Je ne dirai Ă  personne qu'il est mort. Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment amĂšne donc l'Ăąne Ă  Monsieur Michel .. Un mois plus tard, il revient la Voir Qu'est devenu mon Ăąne mort ? Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 700 billets Ă  2 frs ça m'a fait une recette de frs Et personne ne s'est plaint ? Seulement le gars qui a fait que je lui ai rendu ses 2 Francs. Le petit Michel entre temps est devenu Ministre des finances. A mĂ©diter................... ***************************************************************************************************** Les Auvergnats ne sont pas radins mais malins. Deux auvergnats prennent le train pour Marseille. Dans le train ils rencontrent deux juifs et ils papotent. Quand ils aperçoivent le contrĂŽleur les auvergnats sortent leurs billets, les juifs se moquent d'eux - Vous avez pris deux billets, vous trouvez pas ça un peu cher? Nous on en prend qu'un. - Et comment allez-vous faire? - Bah c'est pas dur regardez. Et tandis que les auvergnats attendent les contrĂŽleurs pour leurs prĂ©senter les billets, les juifs se dirigent vers les toilettes. Quand le contrĂŽleur frappe Ă  la porte des toilettes les juifs lui font passer le billet, le contrĂŽleur le composte et repart. Plus tard ils s’aperçoivent que tous les quatre reprennent le mĂȘme train pour le retour. Le jour arrive et ils se rencontrent Ă  nouveau. Les deux juifs Alors cette fois-ci vous avez pris qu'un seul billet. - Non, non cette fois-ci nous n'en avons pris aucun. - Ah bon et comment allez-vous faire? - Bah vous verrez. Le voyage se poursuit et le contrĂŽleur arrive. Les deux juifs partent dans les toilettes, peu aprĂšs les deux auvergnats suivent, ils frappent Ă  la porte des toilettes des juifs qui leurs tendent le billet et vont s'enfermer dans d'autres toilettes... *********************************************************************************************************************** Mais il arrive que quelques fois les auvergnates se trompent. Une jeune femme de 30 ans de la rĂ©gion d'Aurillac se confie Ă  son amie en lui disant - Tu te rends compte Ă  mon age je suis encore vierge, aprĂšs avoir attendu aussi longtemps je voudrais pas me tromper pour ma premiĂšre fois. - Écoute c'est pas si difficile, tu regardes leurs pieds et s'ils ont de grands pieds la plupart du temps ils ont aussi un grand sexe. Sur ces belles paroles les deux amies se sĂ©parent. Quelques temps plus tard la jeune femme prends le train pour Mauriac et elle voit le contrĂŽleur regarde ses pieds et voyant qu'ils sont Ă©normes elle se prĂ©cipite vers les toilettes. Le contrĂŽleur la suit et lui demande de prĂ©senter son billet. La jeune femme s'enferme avec lui dans les toilettes et lui dit Prenez-moi, je suis entiĂšrement Ă  vous. L'occasion faisant le larron le contrĂŽleur un Clermontois commence Ă  essayer dĂ©boutonner son col de chemise et n'y arrive pas. ÉnervĂ©, il s'exclame C'est ça la SNCF ils vous donnent des chemises deux fois trop petites et des chaussures trois fois trop grandes... *********************************************************************************************************************** Un enfant auvergnat comme tant d'autres mais attention dĂšs foi papa n’apprĂ©cie pas . Un enfant rentre dans la cuisine, en pleurant. Sa mĂšre lui demande - Mais, qu'est-ce que tu as ? - C'est papa, il s'est donnĂ© un coup de marteau sur un doigt. - il n'y a pas de quoi pleurer, au contraire tu aurais dĂ» rire. - C'est ce que j'ai fait. *********************************************************************************************************** Cela ce passe dans le petit village de Brassac Robert est sur le point de fermer sa boucherie lorsqu'un chien entre,un porte-monnaie dans sa gueule. -Bonjour le chien! Quel bon vent t'amĂšne? Tu veux de la viande? -Wouf! -Que veux tu exactement? Un steak? -Wouf! Quel chien adorable tu fais! Tu es tellement intelligent! Robert prĂ©pare le prend le porte-monnaie,se paye et rend le porte-monnaie au chien avec la viande dans un petit chien prend le sac et s'en va. FascinĂ© par l'intelligence du chien,Robert ferme rapidement sa boucherie et s'empresse de le suivre pour voir a qui il chien entre dans un monte jusqu'au troisiĂšme il saute pour sonner a une homme ouvre,en colĂšre -Je n'y crois pas MĂ©dor!Tu es vraiment idiot! -Mais enfin monsieur, s’interpose Robert,ne le grondez pas ainsi! C’est le chien le plus intelligent que je connaisse! Il est incroyable! -Lui intelligent? Vous plaisantez, j’espĂšre! Ça fait dĂ©jĂ  trois fois qu'il oublie ses clĂ©s cette semaine. - Dans une pharmacie de la rĂ©gion d’Aurillac un jeune apprenti commence Ă  travailler dans la boutique d'un pharmacien. Il apprend par cƓur le nom de tous les mĂ©dicaments. Et il s'Ă©tonne de voir un tiroir sur lequel est notĂ© "illisible". - Cherche pas, lui dit le pharmacien. Ça, c'est ce qu'on donne aux clients quand on n'arrive pas Ă  lire l'ordonnance ! - Dans le petit village de Brion Un prĂȘtre sonne chez les parents du petit Antoine, qui ouvre la porte. Le prĂȘtre dit - Je t'apporte clartĂ© et lumiĂšre... Antoine appelle sa mĂšre - Maman, c'est EDF ! - Lors d'une vente de charitĂ©, un riche Auvergnat fait un gros chĂšque mais ne le signe pas. - Vous oubliez la signature, Monsieur ! - Non, c'est un don anonyme ! - Un Auvergnat va passer un mois chez un ami Ă  Paris et, pendant tout ce temps, il vit entiĂšrement Ă  ses crochets. Quand son sĂ©jour se termine, l'ami le raccompagne Ă  la gare et ils vont boire un dernier verre ensemble au buffet. Lorsque le parisien fait mine de payer, l'auvergnat dans un sursaut d’orgueil arrĂȘte son geste, sort une piĂšce et lui dit - Ah non, jamais de la vie ! Depuis un mois c'est vous qui payez sous prĂ©texte que je suis votre invitĂ©. Maintenant c'est fini, le dernier verre, c'est sacrĂ© on va le tirer Ă  pile ou face ! C'est un fils de paysan qui bavarde avec son pĂšre - Papa, plus tard, j'ai envie d'ĂȘtre acteur. - Ah ben, t'as de la chance mon gars pasque dans not' mĂ©tier, des tracteurs, t'en auras ! A ces parisiens Au cours d'une promenade en montagne,aux environs de Prat de Bouc dans le Cantal un Parisien se perd dans le brouillard. AprĂšs avoir longuement errĂ©, il aperçoit une cabane et frappe Ă  la porte - Y-a quelqu'un ? - Ouaip ! Qui est lĂ  ? - Je suis un promeneur Ă©garĂ©. Pourriez-vous me dire comment on fait pour redescendre dans la vallĂ©e ? - Aucune idĂ©e ! Je suis un petit garçon, et je ne peux pas vous ouvrir. - Alors demande donc a ton pĂšre... - Je ne peux pas il est sorti quand maman est rentrĂ©e. - Et ben demande Ă  ta mĂšre alors. - Maman est sortie quand grand-pĂšre est rentrĂ©... - P'tain de merde ! Bon demande Ă  ton grand-pĂšre de venir alors... - C'n'est pas possible ! Il est sorti quand mon grand frĂšre est rentrĂ©... - Bon alors appelle ton grand frĂšre. - Ben il est sorti quand je suis rentrĂ©... - CrĂ© nom de Dieu.......Mais bon sang de bon sang, vous n'ĂȘtes jamais en famille chez vous ? - Ben... si, Ă  la maison.... mais ici c'est les Chiottes !!!! Un paysan ayant deux vaches qui fournissent deux fois plus de lait que ses collĂšgues ayant une dizaine de ruminants dans leurs Ă©tables, fait quelques jalousies ! Au bout d'un mois, ils se concertent et dĂ©cident d'aller voir Arthur puisque tel est son nom pour lui demander quel produit donne t-il Ă  ses vaches pour produire autant de lait. DĂ©nĂ©gation, colĂšre le bĂ©ret en arriĂšre mais aucun produit ... mille d...ou! » AprĂšs quelques insistances, Arthur donne tous de mĂȘme son secret En arrivant dans l'Ă©table pour les traire il pose toujours la mĂȘme question, tous les matins, Ă  ses vaches "ALORS CE MATIN, VOUS ME DONNEZ DU LAIT OU UN STEAK ? " Dans un village entre Pinols et le Mont Mouchet, le pĂšre et le fils bĂȘchent lorsque soudain l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'Ă©trange objet et dit - " r'garde donc l'pĂ©re s'que j'viens d'trouver ! " - "Oh putain...une grenade de la derniĂšre guerre et...Ho putain oĂč est la goupille ?" Le pĂšre arrache la grenade des mains du fils, la balance loin...sur les chiottes au fond du jardin et BAOUMMMM... A ce moment, la grand-mĂšre sort du nuage de fumĂ©e en titubant et dit - "CrĂ© vin diou...heureus'ment qu'j'la pas lĂąchĂ© dans la cuisine celui la ! "
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  • blague du gendarme et de l automobiliste