ClaudeÉtienne Michel rafle le grand chelem des victoires : Austerlitz, IĂ©na, Eylau, Friedland, EckmĂŒhl, Essling, Wagram. À Waterloo, il est tuĂ© quelques minutes aprĂšs la montĂ©e en ligne de la Garde. Il a 43 ans. Sa postĂ©ritĂ© est aussi liĂ©e au fameux mot de Cambronne, car selon ce dernier c’est le gĂ©nĂ©ral Michel qui l’aurait prononcĂ©. Le
DIORAMA WATERLOO » Le dernier carrĂ© 18 juin 1815 Le diorama prĂ©sente l’instant oĂč, Ă  la fin de la bataille, le GĂ©nĂ©ral CAMBRONNE lance son fameux mot » en rĂ©ponse Ă  la sommation de se rendre formulĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Anglais COLVILLE. CAMBRONNE commande un carrĂ© composĂ© du 2Ăšme bataillon du 1er rĂ©giment de chasseurs. Il aurait d’abord rĂ©pondu » la garde meurt mais ne se rend pas », puis Ă  bout de patience aprĂšs deux autres sommations, il aurait criĂ© merde ». CAMBRONNE nia toute sa vie avoir prononcĂ© ce mot qui devait le rendre cĂ©lĂšbre. Ce carrĂ© sera anĂ©anti par les salves de fusils et par les canons des Anglais. CAMRONNE laissĂ© pour mort, victime de plusieurs blessures au visage, au bras doit Ă  la main droite et plusieurs plaies aux jambes, sera cependant sauvĂ© est emmenĂ© en Angleterre, oĂč il Ă©pousera l’infirmiĂšre Anglaise qui le soigna. DĂ©tails Mis Ă  jour 24 mai 2019
PutConquĂ©rir L'europe GrĂące À Waterloo; Pour Lui, Waterloo Ne Fut Pas Morne Plaine; A Fait Waterloo Et S'est PortĂ© Volontiers À Gallipoli; Une Manche GagnĂ©e AprĂšs Waterloo, Mais Pas Haut La Main; Lettres De Waterloo; Chez Les Anglais À Waterloo; A Pris L'eau A Waterloo; Il Aurait PrononcĂ© Son Fameux Mot À Waterloo; Comme La Plaine De Les sĂ©ances du Dictionnaire n’ont pas toujours cette morgue sĂ©vĂšre que l’on prĂȘte aux rĂ©unions des Quarante, rapporte Comoedia dans son numĂ©ro du 19 novembre 1926, la journĂ©e prĂ©cĂ©dente ayant Ă©tĂ© consacrĂ©e en grande partie Ă  la lecture des discours destinĂ©s Ă  ĂȘtre lus le jeudi suivant sous la Coupole, Ă  l’occasion de la rĂ©ception de Louis Bertrand par Jules Cambon. Cette solennitĂ© qui est de tradition quai Conti, poursuit Comoedia, se termina par le rituel Ă©loge du directeur qui, Ă  l’exemple de ses prĂ©dĂ©cesseurs, se leva Ă  l’issue de cette rĂ©pĂ©tition gĂ©nĂ©rale pour dire le plus grand bien du discours et pour promettre Ă  leurs auteurs un grand succĂšs » ainsi que l’assure en cette solennelle circonstance, et chaque fois que le cas se prĂ©sente, le compte rendu officiel de l’AcadĂ©mie. AprĂšs sa comparution devant le conseil de lecture, dont la bienveillance est toujours acquise aux nĂ©ophytes dans l’humaine immortalitĂ©, M. Louis Bertrand, qu’accompagnaient ses deux parrains, fut admis aux honneurs de la sĂ©ance » oĂč les immortels prĂ©sents s’occupaient prĂ©cisĂ©ment de l’indĂ©sirable substantif lancĂ© jadis par le gĂ©nĂ©ral Cambronne, Ă  la figure de nos bons alliĂ©s anglais. Le successeur de Maurice BarrĂšs recula d’horreur, un peu indignĂ© que de tels propos fussent prononcĂ©s en si bonne compagnie, car ce mot a de nombreuses acceptions et les immortels avaient conçu de les discuter toutes, comme de pudiques magistrats expĂ©dient en une seule audience des dĂ©bats trop scabreux. » L’histoire officielle rapporte qu’au soir de la bataille de Waterloo, l’armĂ©e française, dĂ©cimĂ©e, taillĂ©e en piĂšces par les forces anglo-allemandes, battait en retraite en direction de Charleroi. L’arriĂšre-garde, constituĂ©e par trois bataillons de la Garde impĂ©riale, se repliait, tout en combattant, sur Belle-Alliance ; un de ces bataillons marchait sous le commandement du gĂ©nĂ©ral Cambronne qui, Ă  cheval, le visage noir de poudre et les habits dĂ©chirĂ©s par la mitraille, dirigeait cette difficile opĂ©ration stratĂ©gique. La nuit commençait Ă  tomber. Un officier anglais, jugeant dĂ©sespĂ©rĂ©e la situation du dernier carrĂ©, cria aux Français de se rendre. Et Cambronne, furieux, de rĂ©pondre Ă  cette sommation par un seul mot, trĂšs Ă©nergique, et assez connu dĂ©sormais, ce terme quelque peu scatologique allant bientĂŽt ĂȘtre remplacĂ©, dans la lĂ©gende napolĂ©onienne, par la phrase d’un style plus acadĂ©mique La Garde meurt et ne se rend pas ! » À vrai dire, Cambronne ne prononça ni la phrase ni le mot. Concernant la phrase, c’est un certain Rougemont, journaliste Ă  la plume inventive, qui, dans la journĂ©e du 23 juin 1815, crĂ©a de toutes piĂšces la fameuse rĂ©ponse, et la plaça dans la bouche du gĂ©nĂ©ral Cambronne ; le lendemain, il la faisait paraĂźtre dans le Journal GĂ©nĂ©ral de France. En passant par le canal de quatre journaux diffĂ©rents, elle subit plusieurs mĂ©tamorphoses avant d’aboutir Ă  sa forme dĂ©finitive La Garde meurt et ne se rend pas. » Quant au mot de Cambronne, qui n’obtint de succĂšs que vers 1830, soit quinze ans aprĂšs la bataille, il n’a aucun rapport avec le gĂ©nĂ©ral. En 1815, le capitaine de vaisseau Collet celui-lĂ  mĂȘme qui, avec le grade de contre-amiral, dirigera plus tard les opĂ©rations du blocus d’Alger, commandant Ă  ce moment la MelpomĂšne, rencontra devant Ischia le navire anglais Rivoli ; sommĂ© de se rendre, Collet rĂ©pondit au commandant anglais ce mot, trĂšs Ă©loquent dans sa briĂšvetĂ© Merde ». Ceci se passait exactement quarante-neuf jours avant Waterloo. La coĂŻncidence est troublante. Et, tout en se gardant de romancer l’histoire, on peut bien admettre que la lĂ©gende ait prĂ©fĂ©rĂ© emprunter au hĂ©ros de cet obscur combat naval le fameux juron monosyllabique, pour le mettre sur les lĂšvres de Cambronne. Toujours est-il que, loin de ces considĂ©rations historiques, le problĂšme de l’admission du juron au sein du Dictionnaire se posait aux acadĂ©miciens. Allait-on l’admettre dans le code de la langue ? Louis Bertrand qui avait lĂ  une belle occasion de participer pour la premiĂšre fois au travail du Dictionnaire, ne dit mot, par contre, Jean Richepin fit une spirituelle communication sur les titres de noblesse du mot, de ce terme si expressif dont il est impossible de trouver un aussi Ă©loquent synonyme, rapporte Comoedia. Bref la question se posait le substantif n’est pas français et sa suppression devait ĂȘtre dĂ©cidĂ©e ; ou bien il est de bon usage et lĂ©gitimement français. Les Quarante dĂ©libĂ©rĂšrent longuement puis rendirent le verdict suivant Merde restera français avec sa dĂ©finition substantive mais l’exclamation ne sera pas admise ». C’est seulement dans la 9e Ă©dition du Dictionnaire, pour l’heure non achevĂ© et dont le premier tome parut en 1992 que le juron fit son entrĂ©e. Petits mensongeshistoriques Ă©ditĂ© par La France pittoresque 22 enquĂȘtes haletantes sur des citations historiques cĂ©lĂšbres qui cependant n’ont jamais Ă©tĂ© prononcĂ©s. Quand Histoire et lĂ©gende s’entremĂȘlent LucienCALVIE. Heine, mĂ©diateur de l'idĂ©e de rĂ©volution. À la mĂ©moire de François Furet. Pour comprendre la situation et la fonction de Heine comme mĂ©diateur de l'idĂ©e de rĂ©volution, on peut partir de l'anecdote Ă©mouvante qu'il raconte dans ses MĂ©moires : amoureux dans sa jeunesse de la fille d'un bourreau, prĂ©nommĂ©e Josepha ou Josette la
Forum Futura-Sciences les forums de la science MATIERE Physique Prononciation des mots en physique...  RĂ©pondre Ă  la discussion Affichage des rĂ©sultats 31 Ă  60 sur 90 20/12/2006, 21h59 31 Re Prononciation des mots en physique... - Pour le "g" nĂ©erlandais, on le prononce - Soit comme un "k" dont on prolonge le son et dont on enlĂšve le claquement initial khhh. Le son est formĂ© dans la bouche. - Soit la mĂȘme chose, mais avec avec un son plus guttural, ce qui se rapproche alors du "j" italien comme dans Juliano, Juan. Christiaan Huygens se prononce "Christ-i-Ăąne h-oeil-g-Ăšns". Quid de Weierstrass Oueilleur-shtrass ou Veilleur-strace ? - 21/12/2006, 00h11 32 Gwyddon Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Sephi Quid de Weierstrass Oueilleur-shtrass ou Veilleur-strace ? va-iller-straSS c'est allemand, et c'est dur de transcrire phonĂ©tiquement A quittĂ© FuturaSciences. Merci de ne PAS me contacter par MP. 21/12/2006, 11h19 33 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Chip Pour Huyghens, la prononciation originale est "oĂŻreuns", EnvoyĂ© par Sephi Christiaan Huygens se prononce "Christ-i-Ăąne h-oeil-g-Ăšns". Alors ? Hoy-[kh]-euns, ou h-oeil-[kh]-Ăšns ? 21/12/2006, 17h21 34 Komalex Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par ssas_am Bonjour C'est une tres bonne idee ca , j'ai moi rencontrĂ© pas mal de problemes de prononciation comme ca , et sur le coup on a parfois l'air bete, d'ailleurs ca n'est pas valable que pour les noms propres , il y a parfois certaines notations ou autres ... En ce qui concerne "De Broglie" ,comme j'en avais entendu parler et vu son nom a l'ecrit si bien je suis restĂ©e quelques temps en pensant qu'il s'agissait de 2 personnes differentes jusqu'a ce que le lien se fasse... Il y en a encore ou je doute de la prononciation mais je ne m'en souviens plus ca me reviendra ... Sinon un des derniers m'ayant posĂ© problemes dont je me souviens encore est Lebesgue a prononcer Leubaigue D'ailleurs ma prof de magistral disait "De Breuille" tandis que mon prof de td disait "De broglie" comme il le lit quoi... -> donc jsais toujours pas la vraie prononciation / 21/12/2006, 18h02 35 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par sitalgo Huygens Ă©tant paysan-bas, le uy se prononce comme oeil. S'il n'y avait que cela ! Mais pour ĂȘtre initiĂ© au "paysan-bas" comme tu dis, je peux affirmer que la prononciation du "H" suivi de uy, suivi surtout de l'imprononçable pour nous "g" nĂ©erlandais, le tout est trĂšs indigeste... On trouve des chercheurs qui cherchent ; on cherche des chercheurs qui trouvent ! 21/12/2006, 18h36 36 pavlinka Re Prononciation des mots en physique... insolite la prononciation de Clapeyron! Je pense que c'est [klapĂ©ron], mais vu le nombre de versions diffĂ©rentes que j'ai entendues, j'ai des doutes. Ca va gĂ©nĂ©rallement de [klapĂ©irone] Ă  [klapĂ©trone]... DerniĂšre modification par Gwyddon ; 21/12/2006 Ă  18h44. 21/12/2006, 21h49 37 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par danyvio l'imprononçable pour nous "g" nĂ©erlandais, Si j'ai bien compris les explications, c'est un K dont on laisse passer l'air, comme le S est un T dont on laisse passer l'air. Si on fait KHHHH ! comme on fait TSSSS ! Le fameux G sera la deuxiĂšme partie du KHHH, c'est bien ça ? C'est comme le son CH dans le prĂ©nom polonais Lech que tous les journalistes prononcent Ă  tort comme un j espagnol ? 21/12/2006, 23h52 38 Re Prononciation des mots en physique... B'soir, EnvoyĂ© par alovesupreme avez vous le lien sur ce site? DĂ©solĂ©, j'ai une mĂ©moire de poisson rouge mais en tapant "lexique canada anglais francais" dans google, il y en a une tapĂ©e. Mais si t'as l'gosier, Qu'une armure d'acier, Matelasse. Brassens, Le bistrot. 22/12/2006, 12h55 39 Re Prononciation des mots en physique... Ce pourrait ĂȘtre dans la rubrique "on se distrait" mais tant pis En Belgique, Ă  Waterloo - Pardon Monsieur, doit-on prononcer "Vaterloo" ou "OUaterloo" - OUaterloo ! - Vous ĂȘtes sĂ»r ? Vous habitez ici ? - Non, je suis en ouacance ! On trouve des chercheurs qui cherchent ; on cherche des chercheurs qui trouvent ! 22/12/2006, 14h44 40 Thwarn Re Prononciation des mots en physique... je sors de mon cours de physique statistique, et mon prof pronoucĂ© Pauli "paoli"... On dit bien "poli", non? 22/12/2006, 16h26 41 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Thwarn je sors de mon cours de physique statistique, et mon prof pronoucĂ© Pauli "paoli"... On dit bien "poli", non? Ben non, Pauli Ă©tait autrichien, ça se prononce Ă  l'allemande... La prononciation de ton prof est meilleure que "poli"... Cordialement 22/12/2006, 21h42 42 fderwelt Re Prononciation des mots en physique... Bonsoir, C'est plutĂŽt des maths que de la Physique, mais ça va dans le mĂȘme sens... Comment doit-on prononcer Sylow ? celui des p-sous-groupes ? J'ai fini par trouver, mais ça ne saute pas aux yeux... - françois Dans le genre il y a WrocƂaw avec un l barrĂ©, en Pologne, oĂč il y a eu pas mal de CongrĂšs de CybernĂ©tique. Vroclave, vrotslave, vrotsouof ? Les optimistes croient que ce monde est le meilleur possible. Les pessimistes savent que c'est vrai. 22/12/2006, 21h53 43 Re Prononciation des mots en physique... Hi all, Pour Hawking, Feynman ... Ă  suivre... Merci Ă  celles et ceux qui propagent la science sur Internet. 04/01/2007, 08h25 44 pavlinka Re Prononciation des mots en physique... On rononce les W comme les V non? ca donne [Vrotslaf] en soulant le r pour les Ă©lue de Dieu qui y arrivent 04/01/2007, 08h27 45 pavlinka Re Prononciation des mots en physique... mes excuses pour les fautes prononce roulant Ă©lus 04/01/2007, 11h13 46 Nox Re Prononciation des mots en physique... Bonjour ! Pour Wroclaw faut que je demande Ă  qqun pour confirmer Je dirais Vroc'tau mais bon c'est un peu schĂ©matique parce que le polonais se prononce d'une maniĂšre peu commune pour nous français ...Pour moi en tout cas c'est super dur ... Cordialement, Nox Nox, ancien contributeur des forums de maths et de chimie. 03/02/2007, 20h53 47 Nox Re Prononciation des mots en physique... Bonjour ! Je fais remonter ce fil pour savoir comment on prononce le compteur Geiger ? gĂ©gĂšre gaĂŻgeure ? Cordialement, Nox Nox, ancien contributeur des forums de maths et de chimie. 03/02/2007, 21h00 48 Re Prononciation des mots en physique... On entend beaucoup le "GĂ©gĂšre", mais parfois certains font des efforts et prononcent "gaĂŻgueure", mais c'est moins courant... Encore une victoire de Canard ! 03/02/2007, 22h24 49 Ledescat Re Prononciation des mots en physique... Je dis gĂ©gĂšre moi pour ma part Pour Bezout, dites vous Beuzou ou bien BĂ©zou? Moi les deux je les emploie autant... 03/02/2007, 22h32 50 Gwyddon Re Prononciation des mots en physique... Je suis plus fan de [BĂ©zou], mais je ne vais pas incendier quelqu'un qui dit l'autre prononciation Il faudrait pouvoir demander au sus-nommĂ© A quittĂ© FuturaSciences. Merci de ne PAS me contacter par MP. 03/02/2007, 23h10 51 Re Prononciation des mots en physique... Bonsoir, Pour les noms communs et d'unitĂ©s, il y a un excellent dictionnaire en ligne, le TLF L'ortographe phonĂ©tique est indiquĂ©e, et il y a possibilitĂ© de faire prononcer les mots ça fait un peu Karl, mais ça donne une bonne idĂ©e quand mĂȘme. 04/02/2007, 04h46 52 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Ledescat Je dis gĂ©gĂšre moi pour ma part Pour Bezout, dites vous Beuzou ou bien BĂ©zou? Moi les deux je les emploie autant... Bonjour, Il ne devrait pas y avoir d'ambiguĂŻtĂ©, et pourtant... Le français demande Beuzout, comme il demande Cleumenceau si, si!. Pour les parisiens, il se trouve qu'il y a trois stations de mĂ©tro posant le problĂšme Champs-ElysĂ©es-Clemenceau Cleumenceau, Pereire Peureire et Pernety PĂšrneuty. Autant dire que l'on n'entend jamais la "bonne" prononciation... Cordialement, 04/02/2007, 04h50 53 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Coincoin On entend beaucoup le "GĂ©gĂšre", mais parfois certains font des efforts et prononcent "gaĂŻgueure", mais c'est moins courant... Ca ne devrait pas ĂȘtre GueĂŻgueur, plutĂŽt que aĂŻ eil plutĂŽt que ail?? Cordialement, 04/02/2007, 12h25 54 Re Prononciation des mots en physique... Ca ne devrait pas ĂȘtre GueĂŻgueur, plutĂŽt que aĂŻ eil plutĂŽt que ail?? Si, si ! C'est pas Ă©vident de retranscrire la prononciation comme ça... comme il demande Cleumenceau si, si! Wikipedia indique que ça se prononce comme "ClĂ©menceau", mais c'est vrai qu'on le voit trĂšs souvent avec un accent noms de rue, ... Encore une victoire de Canard ! 04/02/2007, 15h40 55 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par Coincoin Wikipedia indique que ça se prononce comme "ClĂ©menceau", mais c'est vrai qu'on le voit trĂšs souvent avec un accent noms de rue, ... L'Ă©criture est sans accent, c'est sĂ»r. Maintenant, pour la prononciation, je n'ai pas encore trouvĂ© de source fiable je ne considĂšre par le Wiki comme tel indiquant que la prononciation "correcte" ne suit pas la rĂšgle. Que "ça se prononce comme clĂ©..." est une Ă©vidence factuelle, suffit d'ouvrir les oreilles. Cordialement, 04/02/2007, 15h50 56 Gwyddon Re Prononciation des mots en physique... Tout Ă  fait d'accord sur l'orthographe, aprĂšs pour ce qui est de la prononciation je ne sais pas trop non plus. Ici une page intĂ©ressante, bien que non officielle A quittĂ© FuturaSciences. Merci de ne PAS me contacter par MP. 04/02/2007, 19h55 57 Ledescat Re Prononciation des mots en physique... Excellent pagee Gwyddon 04/02/2007, 22h43 58 Re Prononciation des mots en physique... EnvoyĂ© par mmy Ca ne devrait pas ĂȘtre GueĂŻgueur, plutĂŽt que aĂŻ eil plutĂŽt que ail?? Cordialement, Salut ! Non, je ne crois pas qu'il existe de combinaisons de lettres en allemand qui se prononce "éï". "eine" se dit "aĂŻneu" et pas "éïneu" ! 04/02/2007, 23h12 59 Re Prononciation des mots en physique... Il y a le "ej" mais je ne sais pas si ça fait "éï " ou "Úï ". Mais si t'as l'gosier, Qu'une armure d'acier, Matelasse. Brassens, Le bistrot. 04/02/2007, 23h18 60 Re Prononciation des mots en physique... Dans quel mot ? Sur le mĂȘme sujet Discussions similaires RĂ©ponses 10 Dernier message 10/04/2007, 04h30 RĂ©ponses 0 Dernier message 14/11/2006, 00h47 RĂ©ponses 12 Dernier message 10/10/2005, 07h55 RĂ©ponses 5 Dernier message 26/06/2005, 17h39 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 13h30.
Ilaurait prononcé son fameux Mot à Waterloo: cambronne: Quelque chose d'ancien que l'on collectionne: antiquite: Hostilité envers quelqu'un: animosite: Marque de conserves de thon: saupiquet: Moyen, secours: ressource: Genre de Lolita, aguicheuse: nymphette: Suppression administrative: radiation: Qui a plusieurs tonalités: polytonal
Lorsque NapolĂ©on comprend que le sort de la bataille de Waterloo est en train de tourner, il dĂ©cide de tenter sa derniĂšre chance. La garde impĂ©riale, composĂ©e d’hommes qui suivent le petit Caporal depuis parfois ses premiĂšres campagnes, est le dernier rempart face aux troupes commandĂ©es par Wellington. La Vieille Garde, le 1er chasseurs de la garde, est commandĂ©e par un fidĂšle compagnon de l’Empereur. Le gĂ©nĂ©ral Cambronne n’a jamais abandonnĂ© NapolĂ©on. Il l’a suivi jusque dans son exil Ă  l’üle d’Elbe. Le courage de la garde impĂ©riale, les mots de Cambronne qui vont suivre font dĂ©sormais partie de la lĂ©gende. Le dernier carrĂ© de la grande armĂ©e meurt sous la mitraille. Le gĂ©nĂ©ral anglais Colville dans un acte de mansuĂ©tude somme les derniers soldats français de se rendre. Le gĂ©nĂ©ral Cambronne juge cette proposition dĂ©shonorante et rĂ©pond La garde meurt mais ne se rend pas ». L’Anglais insiste. Le Français dans un dernier acte hĂ©roĂŻque lui rĂ©pond Merde ! » Pierre Cambronne a-t-il prononcĂ© son fameux mot ? Il ne le confirma jamais. Mais Victor Hugo lui attribua la paternitĂ© de cette rĂ©partie dans Les MisĂ©rables. La lĂ©gende Ă©tait nĂ©e. Elle est devenue l’Histoire. Bertrand GuyardLe Figaro AccĂ©dez Ă  l’article source Pour en savoir plus le mot de Cambronne fait l’objet d’une enquĂȘte parue dans notre ouvrage Petits mensonges historiques Mots cĂ©lĂšbres maisjamais prononcĂ©s ! avec l’ouvrage Petits mensonges historiques Ă©ditĂ© par La France pittoresque Plus un mot historique reflĂšte exactement la physionomie morale de son auteur prĂ©sumĂ©, plus ce mot a des chances d’ĂȘtre faux ». DĂ©couvrez 22 mots historiques » que l’Histoire retient mais qui n’ont jamais Ă©tĂ© prononcĂ©s. 170 pages d’enquĂȘtes au ton espiĂšgle et enlevĂ©. Icivous trouvez la solution exacte Ă  Il Aurait PrononcĂ© Son Fameux Mot À Waterloo pour continuer dans le paquet CodyCross Le Monde est petit Groupe 689 Grille 5. Solution pour Il Aurait PrononcĂ© Son Fameux Mot À Waterloo CAMBRONNE PrĂ©cĂ©dent Suivant Solutions du mĂȘme Grille Papier MĂ©tallique DestinĂ© À Conserver Les Aliments Des MisĂ©rables de Victor Hugo, on ne retient bien souvent que l’odyssĂ©e de Jean Valjean et de Cosette, la vergogne des ThĂ©nardier et l’acharnement de Javert. Or, le chef d’Ɠuvre de Victor Hugo est un ouvrage foisonnant qui offre notamment une description apocalyptique de la bataille de Waterloo – Waterloo, c’était d’ailleurs un concentrĂ© d’apocalypse sur Jacques-Antoine-Adrien Delort tableau exposĂ© au musĂ©e d’art, hĂŽtel Sarret de Grozon Ă  Arbois.© MusĂ©e d’art, hĂŽtel Sarret de Grozon, cl. Aloys de BecdeliĂšvre quelques centaines d’hectares. Au fil du rĂ©cit dantesque, apparaissent les noms gĂ©nĂ©raux jurassiens citĂ©s au dĂ©tour de quelques phrases. Il y a lĂ  les dolois Bachelu et Bernard, le presque dolois Michel, l’arboisien Delort, Guyot de Villevieux. Est-ce bien normal ? Rien que de plus normal. EngagĂ©s dans les trois batailles successives de Ligny, des Quatre-Bras 16 juin et de Waterloo 18 juin, ils sont plus d’une dizaine de gĂ©nĂ©raux du pays Ă  charger les fourbes Anglais, les scrogneugneu Prussiens et leurs nombreux alliĂ©s. Voyons donc cela de plus prĂšs
 GĂ©nĂ©ral Jacques-Antoine-Adrien Delort Le texte de Victor Hugo Étant deux divisions, ils Ă©taient deux colonnes ; la division Wathier avait la droite, la division Delord avait la gauche. On croyait voir de loin s’allonger vers la crĂȘte du plateau deux immenses couleuvres d’acier. Cela traversa la bataille comme un prodige ». Autre extrait Soixante canons et les treize carrĂ©s foudroyĂšrent les cuirassiers Ă  bout portant. L’intrĂ©pide gĂ©nĂ©ral Delord fit le salut militaire Ă  la batterie anglaise ». Le contexte dans la bataille le gĂ©nĂ©ral Delort Victor Hugo Ă©crit Delord, qui commande la 14e division de cavalerie, est engagĂ© dans la cĂ©lĂšbre charge engagĂ©e au milieu de l’aprĂšs-midi par le marĂ©chal Ney pour forcer la dĂ©cision. Une charge qui embarque prĂšs de 10 000 cavaliers. Qui est le gĂ©nĂ©ral Delort ? NĂ© Ă  Arbois, Jacques-Antoine-Adrien Delort a 42 ans Ă  Waterloo. Jeune lettrĂ©, il s’engage avec les volontaires nationaux du Jura en 1791. Il connaĂźt une ascension rĂ©guliĂšre qui passe par toutes les campagnes de la RĂ©volution et de l’Empire. AprĂšs 1815, retirĂ© dans son chĂąteau de Vadans, prĂšs d’Arbois, il rumine la dĂ©faite de Waterloo dans un petit ouvrage que l’on peut lire, par exemple, Ă  la bibliothĂšque d’études de Besançon. GĂ©nĂ©ral Claude-Étienne Guyot Claude-Étienne Guyot par le peintre Antoine-Jean Gros©DR Claude-Étienne Michel©DR Le texte de Victor Hugo Guyot qui a menĂ© Ă  la charge les escadrons de l’empereur tombe sous les pieds des dragons anglais ». Le contexte dans la bataille Guyot a jetĂ© dans la bataille ses 1 300 cavaliers de la division de cavalerie lourde de la Garde impĂ©riale rĂ©giment des grenadiers Ă  cheval et dragons de l’impĂ©ratrice. Il est pris par les Anglais, libĂ©rĂ©, blessĂ©, il charge encore. Qui est le gĂ©nĂ©ral Claude-Étienne Guyot ? Il naĂźt en 1768 dans une famille de paysans de Villevieux, prĂšs de Bletterans. Il s’engage en 1790, ses mĂ©rites lui valent un avancement rapide, il intĂšgre la Garde impĂ©riale. Son intrĂ©piditĂ© est reconnue sur tous les champs de bataille, notamment Ă  Eylau et Wagram. Il dĂ©cĂšde en 1837. Une petite rue porte son nom Ă  Villevieux, Ă  cĂŽtĂ© de l’ancienne fruitiĂšre. GĂ©nĂ©ral Claude-Étienne Michel Le texte de Victor Hugo Chaque bataillon de la garde, pour ce dĂ©nouement, Ă©tait commandĂ© par un gĂ©nĂ©ral. Friant, Michel, Roguet, Harlet, Mallet, Poret de Morvan Ă©taient lĂ . Quand les hauts bonnets des grenadiers de la garde avec la large plaque Ă  l’aigle apparurent, symĂ©triques, alignĂ©s, tranquilles, superbes, dans la brume de cette mĂȘlĂ©e, l’ennemi sentit le respect de la France ; on crut voir vingt victoires entrer sur le champ de bataille, ailes dĂ©ployĂ©es ». Le contexte dans la bataille. Vers la fin de la journĂ©e, NapolĂ©on se dĂ©cide Ă  faire donner » la Garde impĂ©riale. L’épisode se termine par la lĂ©gende du dernier carrĂ©. Le gĂ©nĂ©ral Michel commande une brigade de la division de chasseurs Ă  pied de la Vieille garde. Qui est le gĂ©nĂ©ral Claude-Étienne Michel ? C’est un brave parmi les braves. NĂ© en octobre 1772 Ă  Pointre, prĂšs de Dole, il a 19 ans quand il s’engage dans les rangs des volontaires nationaux. Claude-Étienne Michel rafle le grand chelem des victoires Austerlitz, IĂ©na, Eylau, Friedland, EckmĂŒhl, Essling, Wagram. À Waterloo, il est tuĂ© quelques minutes aprĂšs la montĂ©e en ligne de la Garde. Il a 43 ans. Sa postĂ©ritĂ© est aussi liĂ©e au fameux mot de Cambronne, car selon ce dernier c’est le gĂ©nĂ©ral Michel qui l’aurait prononcĂ©. Le personnage du gĂ©nĂ©ral Michel apparaĂźt dans une piĂšce d’Alexandre Dumas, La barriĂšre de Clichy. GĂ©nĂ©ral Simon Bernard Le texte de Victor Hugo À la nuit tombante, dans un champ prĂšs de Genappe, Bernard et Bertrand saisirent par un pan de sa redingote et arrĂȘtĂšrent un homme hagard, pensif, sinistre, qui entraĂźnĂ© jusque-lĂ  par le courant de la dĂ©route venait de mettre pied Ă  terre, avait passĂ© sous son bras la bride de son cheval, et, l’Ɠil Ă©garĂ© s’en retournait seul vers Waterloo. C’était NapolĂ©on essayant encore d’aller en avant, immense somnambule de ce rĂȘve Ă©croulĂ© ». Le contexte dans la bataille. C’est la fin, tout est perdu. Le gĂ©nĂ©ral Simon Bernard est l’un des aides de camp de l’Empereur. Qui est le gĂ©nĂ©ral Simon Bernard ? NĂ© Ă  Dole en 1779 dans une famille pauvre, Simon Bernard gagne Paris pour entrer Ă  l’École centrale des travaux publics – Polytechnique. Il est remarquĂ© par NapolĂ©on qui en fait son aide de camp lors des Cent jours. PassĂ© Waterloo, le gĂ©nĂ©ral Simon Bernard met son savoir au service des Etats-Unis oĂč il est considĂ©rĂ© comme le Vauban du nouveau monde ». AprĂšs la rĂ©volution de 1830, il revient en France. Aide de camp du roi Louis-Philippe, la politique l’attrape en 1836. Il est nommĂ© ministre de la Guerre de septembre 1836 Ă  mars 1839. Simon Bernard dĂ©cĂšde au mois de septembre de la mĂȘme annĂ©e. EncadrĂ© Jurassiens et Comtois des Cent-Jours Le poids de la nouvelle guerre des Cent-Jours repose pour l’essentiel sur l’ArmĂ©e du Nord qui engage les batailles de Ligny, des Quatre-Bras, de Waterloo et la poursuite introuvable de Grouchy aux trousses des Prussiens. Voici les commandements des gĂ©nĂ©raux comtois mobilisĂ©s dans cette armĂ©e
 État-major de l’armĂ©e du Nord Charles-Étienne Ruty Besançon commandant de l’artillerie. Simon Bernard Dole aide de camp de l’empereur. Marie-Étienne Baudrand Besançon Ă©tat-major gĂ©nĂ©ral du gĂ©nie. Garde impĂ©riale Albert-François Deriot Clairvaux-les-Lacs Ă©tat-major. Claude-Étienne Guyot Villevieux division de cavalerie lourde. Claude-Étienne Michel Pointre adjoint de Charles-Antoine Morand. Charles-Antoine Morand Pontarlier / MontbenoĂźt division de chasseurs Ă  pied de la Vieille garde. Nicolas Philippe Guye Lons-le-Saunier une brigade de la division de la Jeune garde. Infanterie François-Xavier Donzelot Mamirolle 2e division d’infanterie. Gilbert Bachelu Dole 5e division d’infanterie. Jean-Joseph Gauthier Septmoncel une brigade de la 9e division d’infanterie. Jean-François Rome Monay une brigade de la 12e division d’infanterie. Cavalerie Claude-Pierre Pajol Nozeroy premier corps de cavalerie avec Grouchy. Jacques-Antoine-Adrien Delort Arbois 14e division de cavalerie. Pierre-Joseph Farine du Creux Damprichard une brigade de la 14e division de cavalerie. Jean-Baptiste Strolz Belfort 9e division de cavalerie. En tout une quarantaine de gĂ©nĂ©raux comtois participent aux Cent jours dont le polinois Jean-Pierre Travot engagĂ© en VendĂ©e, Claude-Joseph Lecourbe, de Ruffey-sur-Seille, qui dĂ©fend Belfort jusqu’à la mi-juillet. Citons Claude-Pierre Rouget, le frĂšre de Claude-Joseph Rouget-de-Lisle qui, Ă  l’époque, est retirĂ© Ă  Montaigu. Ilaurait prononcĂ© son fameux mot Ă  Waterloo; Quelque chose d’ancien que l’on collectionne; HostilitĂ© envers quelqu’un; Marque de conserves de thon; Moyen, secours; Genre de Lolita, aguicheuse; Suppression administrative; Qui a plusieurs tonalitĂ©s; Mettre des rĂ©coltes Ă  l’abri; Fait de prendre une chose pour une autre cj61.
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  • il aurait prononcĂ© son fameux mot Ă  waterloo